1910 : André Soubiran, médecin et écrivain français († 29 juillet 1999).

Dans une petite ville de France, à l'aube du XXe siècle, un enfant nommé André Soubiran voit le jour. Le 24 janvier 1910, sa naissance marque le début d'une vie qui serait façonnée par des batailles intérieures et extérieures. Le jeune André grandit dans un environnement où la médecine et la littérature se côtoient, deux passions qui ne tarderaient pas à s'entrelacer dans son parcours futur.

À l'école, il s'illustre par son intelligence vive et sa curiosité insatiable. Cependant, il n'est pas seulement attiré par les livres; les couloirs de l'hôpital local éveillent également en lui un profond intérêt pour la science médicale. Peut-être qu'au fond de lui se cache déjà ce désir inextinguible d'aider les autres une ambition qui guiderait plus tard ses choix professionnels. Ironiquement, bien que son cœur penche vers la médecine dès son jeune âge, c'est la plume qui prendra souvent le relais dans sa quête d'expression.

En 1934, alors qu'il complète ses études en médecine à Paris, Soubiran fait ses premiers pas en tant qu'écrivain. Il publie des articles dans diverses revues littéraires tout en poursuivant sa carrière médicale. Cela pourrait sembler anodin un médecin écrivain parmi tant d'autres mais Soubiran possède une voix unique. Il aborde des thèmes complexes : l'amour perdu entre un patient et son médecin ou les dilemmes moraux auxquels font face les professionnels de santé dans leur pratique quotidienne.

Sa carrière prend un tournant inattendu durant la Seconde Guerre mondiale ; pourtant cela ne freine en rien son élan créatif! Les horreurs vécues pendant cette période tumultueuse nourrissent profondément sa plume : « La guerre est une maladie », déclare-t-il lors d'une interview post-guerre. Peut-être que ces mots résonnent comme un écho de ses propres expériences traumatiques ? De toute évidence, l'ombre du conflit se reflète sur ses écrits après-guerre...

Soubiran devient rapidement une figure respectée non seulement dans le domaine médical mais aussi littéraire ! Son premier roman publié après la guerre attire l'attention par sa narration poignante et sincère des défis que rencontrent ceux qui sont confrontés à des maladies incurables... Cependant, certains critiques restent sceptiques face à cette double vocation; ils suggèrent qu'un écrivain doit choisir entre deux mondes si opposés.

Malgré cela, il persiste avec acharnement : « La médecine est ma vérité quotidienne; écrire m'aide à transmettre mes réflexions sur celle-ci ». Au fil du temps et avec chaque page tournée sous le regard scrutateur du monde médical français, il tisse habilement une toile complexe où fiction et réalité coexistent sans jamais se confondre.

Les années passent... En 1965 est publiée 'La Mort', œuvre emblématique où il confronte cette ultime fatalité avec douceur mais aussi brutalité! Ce livre considéré comme essentiel pour comprendre le rapport complexe entre vie et mort selon Soubiran capte indéniablement l'esprit même de son époque ! Dans cet ouvrage poignant teinté de mélancolie poétique... Qui sait combien de lecteurs ont trouvé réconfort au creux de ces pages ?

Toutefois malgré ses succès littéraires croissants Soubiran demeure attaché à sa vocation médicale jusqu'à la fin de sa carrière professionnelle en 1970! Avec détermination féroce , il continue d'exercer tout en consacrant beaucoup de temps à écrire jusqu'à ce qu'il prenne finalement sa retraite pour se concentrer pleinement sur la littérature.

Cependant , alors que certains pensent que prendre du recul lui permettrait enfin d’échapper aux contraintes hospitalières… C'est exactement là que commence vraiment sa seconde vie! Libéré des obligations cliniques quotidiennes chaque mot écrit semble désormais chargé d'une profondeur émotionnelle encore plus grande!

Avec chaque nouvelle publication qui voit le jour au cours des années suivantes , on découvre progressivement derrière cette façade calme une âme tourmentée richement ancrée dans son humanisme... Ses livres deviennent peu à peu des réflexions presque philosophiques sur notre condition humaine fragile.

Soudainement plongé dans les méandres parfois sombres mais aussi lumineux de l'existence humaine   il crée ainsi ce lien quasi magique entre lecteur et auteur ! L’héritage laissé derrière soi est précieux car c’est là où réside véritablement toute création artistique authentique…

Néanmoins – après avoir enrichi plusieurs générations avec ses œuvres marquantes durant près de trois décennies – arrive inéluctablement le jour fatidique: celui où notre cher André rendit l’âme pour rejoindre cet autre monde dont tous parlent sans vraiment savoir… C'était le 29 juillet 1999 ! Les années passèrent depuis lors pourtant chacun peut encore ressentir quelque chose vibrer lorsque mentionné autour des tables dédiées aux lettres francophones!

Puisque depuis ce jour triste où nous avons perdu cet esprit brillant - nombreux sont ceux témoignant comment leurs vies ont été profondément touchées par lui: “Il a su traduire mes pensées”, dit Judith lors d’une lecture publique récemment organisée autour d’une anthologie regroupant divers extraits choisis parmi toutes ces belles pages écrites.” Oui vraiment - c’est précisément ici que réside toute magie opéré par grands auteurs…

Aujourd'hui encore – alors qu’on feuillette quelques-unes pages jaunies publiées sous son nom on perçoit aisément pourquoi tant admirateurs continuent toujours pouvoir vibrer grâce aux émotions délicatement distillées tout au long des phrases articulées ! Peut-être donc finit-on tous ensemble par réaliser combien chaque histoire racontée abrite non seulement souvenirs mais également clés ouvrant portes mystérieuses dissimulant vérités cachées …

Un héritage vivant

L’héritage littéraire laissé par Soubiran ne se limite pas uniquement aux couvertures rigides ornées chacune leurs titres si évocateurs car bel-et-bien vibrant encore aujourd’hui chez lecteurs avides désireux découvrir univers riches révélant complexités inhérentes chacun moment vécu!

Ainsi désormais célébré non seulement comme grand médecin consciencieux   mais également auteur engagé tenant fermement crayon prédominant vis-à-vis impact produit forme écriture vis-à-vis sujet décès/immortalité elle-même…. Quoiqu’il soit vain passé évoquer gloires passagères attachons-nous plutôt chercher semblants vérités foncièrement humaines dissociables!” ... Alors pourquoi ne pas oser dire : "il fait partie intégrante héritage culturel français!"?