Suzanne Lenglen, joueuse de tennis française († 4 juillet 1938).

Suzanne Lenglen, la grande dame du tennis français, n'a pas seulement marqué son époque par ses exploits sur le court ; elle est née dans une famille modeste à Saint-Denis, en 1899. Sa jeunesse ne la prédisposait guère à devenir une icône. Pourtant, dès son plus jeune âge, elle a découvert sa passion pour le tennis. Peut-être que cette rencontre fortuite avec une raquette et un court de tennis a été le point de départ d'un destin hors du commun. Rapidement, ses talents sont devenus évidents. En participant à des compétitions locales, elle a attiré l'attention des promoteurs du sport et des médias. À seulement 15 ans, elle est déjà finaliste au championnat de France junior. Cependant, cette reconnaissance précoce s'accompagne d'une pression croissante : celle de devoir incarner les espoirs d'une nation avide de gloire sportive. Les années passent et le nom "Suzanne Lenglen" commence à résonner au-delà des frontières françaises. En 1914, la guerre mondiale éclate un tournant tragique pour l'Europe et un coup dur pour le monde du sport. Cependant, malgré ce contexte tumultueux qui suspend les compétitions internationales pendant plusieurs années, Suzanne ne renonce pas à sa passion ; elle perfectionne son jeu dans l'intimité des courts parisiens déserts. Qui sait quels rêves nourrissaient cette jeune femme durant ces années sombres ? Ses ambitions semblent intactes lorsque la paix revient enfin en 1918. La première compétition internationale post-guerre est Wimbledon en 1919 un événement qui marquera non seulement sa carrière mais aussi l’histoire du tennis féminin. Elle y remporte facilement son premier titre ! Son style audacieux jupe longue et bandeau dans les cheveux contraste avec les conventions strictes de l’époque où les femmes étaient censées jouer avec réserve. Cela ne fait qu'accroître sa popularité : elle devient rapidement symbole d’une nouvelle féminité affirmée. Cependant, derrière ce sourire radieux se cache une adversité constante... Elle doit faire face aux critiques acerbes d’un milieu encore largement masculin dominé par des traditions rétrogrades qui considèrent le sport comme inapproprié pour les femmes ! Malgré cela, Suzanne continue à briller sur le terrain : entre 1920 et 1926, elle décroche six titres consécutifs à Wimbledon ainsi que plusieurs championnats internationaux. Mais il n’y a pas que la victoire qui forge son caractère : c'est également lors de matchs éprouvants qu'elle révèle toute sa détermination ! Dans une rencontre mémorable contre Molla Bjurstedt Mallory en finale de Wimbledon en 1922 après avoir perdu le premier set ! elle se reprend magistralement pour finalement gagner deux sets consécutifs… Un retournement dont on parle encore aujourd'hui comme d'une démonstration épique de résilience ! Ironiquement cependant... Alors qu’elle brille sur les courts européens où ses succès s’accumulent comme autant d’étoiles dans une voûte céleste nocturne... Son plus grand défi survient aux États-Unis en raison des tensions culturelles entre l’Old World européen et le New World américain qui influencent même les tournois sportifs ! Sa première participation aux championnats américains se solde par un accueil chaleureux mais teinté de rivalités raciales complexes... En effet ! Lorsqu’elle traverse l’Atlantique pour participer aux championnats nationaux américains , elle découvre que tout n’est pas rose chez nos amis américains ; certains publicistes tentent même d’amalgamer son image glamour avec celle des célébrités hollywoodiennes naissantes afin d’attirer davantage de spectateurs – sans doute un mélange peu subtil qui laisse perplexe notre joueuse française ! Néanmoins… L’audace paysanne fait partie intégrante de son identité ! Elle explose littéralement tous ces stéréotypes dépassés quand lors d’un match décisif contre Helen Wills Moody on assiste alors à un duel mémorable dont personne ne sortira réellement vainqueur car toutes deux quitteront finalement ces arènes mythiques auréolées par leur propre légende ! Pourtant... Il arrive parfois que la gloire soit éphémère... À partir des années trente alors qu’elle commence lentement mais sûrement à prendre ses distances vis-à-vis du circuit professionnel… Suivant ainsi une tendance personnelle vers quelque chose qui ressemble davantage au théâtre ou encore au cinéma sans doute fascinée par toutes ces lumières scintillantes ! Ce glissement progressif vers cet univers artistique lui ouvre pourtant également quelques portes inattendues mais révèle parallèlement aussi sa vulnérabilité face aux changements culturels majeurs apportés notamment par la montée totale du professionnalisme sportif – tant attendu! Finalement après avoir pris part non sans mal aux Jeux Olympiques organisés près chez nous! Les tribulations multiples vécues durant ces événements achèveront peut-être lentement mais sûrement d’ébranler quelque peu cette légende vivante… Peut-être était-ce là tout simplement inévitable… Ce chemin sinueux semble culminer lorsqu’en juillet 1938 il lui faut faire face non pas uniquement aux difficultés physiques inhérentes liées vieillissement avancé ou blessures répétées! Mais également affronter le poids écrasant du souvenir de celles & ceux restés prisonniers pendant tant trop longtemps sous les ombres funestes causées par diverses luttes internes entre nations... Ironiquement donc c'est bien seule loin des feux scintillants retrouvant alors intimité perdue loin tous applaudissements frénétiques qu'elle semble enfin prendre conscience désillusionnée & triste; réalisant combien tout ceci lui échappe désormais tout juste avant retour définitif auprès ancêtres oubliés… Aujourd'hui encore , lorsque se dressent fièrement certains stades modernes dédiés tennismen&women contemporains pouvant ressentir vibrez émotions transcendantes chaque fois reviennent souvenirs lumineuses suscitant admiration quant héritage laissé derrière soi-même … Suivez vous savez quoi ? Il paraît que quelques-unes redeviennent tendances actuellement parmi génération Z sur TikTok!