Michel Cailloux, écrivain et scénariste québécois d’origine française († 3 septembre 2012).

Dans les ruelles pavées de la ville de Laval, une âme s’éveillait au monde. Il n'était pas un enfant comme les autres ; dès son plus jeune âge, Michel Cailloux se distinguait par son goût inébranlable pour les mots. Les histoires l’enveloppaient comme une douce mélodie, et il se perdait dans les pages des livres que sa mère lui lisait. Peut-être était-ce cette éducation baignée de littérature qui a semé en lui la graine d’un écrivain et scénariste prometteur. En grandissant, Michel ne se contenta pas d'admirer le monde littéraire depuis la distance il voulait y entrer. À l’adolescence, il commença à écrire ses premières nouvelles. Ironiquement, ces récits naissants étaient souvent inspirés par ses propres expériences vécues dans cette province aux multiples couleurs qu’est le Québec. La neige qui recouvrait le sol l’hiver et les rivières scintillantes en été devenaient des personnages à part entière dans ses écrits. Cependant, tout changement est accompagné d'un défi. En 1968, alors qu'il n’avait que 18 ans, Michel quitta sa France natale pour embrasser une nouvelle vie au Canada. Malgré cela, ce départ marquant fut aussi le prélude à un parcours fascinant qui allait transformer non seulement sa vie mais aussi celle de nombreux lecteurs au fil des décennies. Installé au Québec où il découvrit un nouveau paysage culturel francophone mais singulier il s'imprégna rapidement des influences artistiques locales. Qui sait combien d'histoires ont germé dans son esprit pendant ses errances dans cette province vibrante? Ses débuts professionnels ne tardèrent pas à arriver : en effet, c'est sur ce sol fertile qu'il commença à collaborer avec divers magazines et journaux québécois pour partager sa vision unique du monde. Les années passèrent... Et bientôt, Michel Cailloux se fit connaître comme écrivain et scénariste à travers plusieurs œuvres marquantes ! L'une d'elles fut sans doute "Les voix du silence", un récit poignant qui évoquait la complexité des relations humaines face aux tumultes sociaux de l’époque. Il y mettait en lumière des problématiques contemporaines avec une délicatesse remarquable tout cela exprimé dans une prose élégante qui attirait le lecteur dès la première phrase. Mais toute bonne histoire comporte également ses zones d'ombre… En effet, malgré sa réussite grandissante sur la scène littéraire québécoise, Michel ressentit parfois un décalage entre son œuvre et le milieu du cinéma dont il rêvait tant ! Sa transition vers le cinéma était jalonnée de défis : insuffisamment reconnu par certains cercles cinématographiques traditionnels du Québec qui préféraient souvent promouvoir des artistes déjà établis plutôt que ceux provenant de la littérature. Dans ce contexte tumultueux où l'art se mesurait souvent à son popularité immédiate... Il prit pourtant son courage à deux mains ! Le défi fut lancé lorsque plusieurs adaptations cinématographiques de ses œuvres virent finalement le jour grâce à sa détermination sans faille et aux collaborations fructueuses qu'il bâtit avec divers réalisateurs talentueux ! C'est ainsi que naquit "La danse des ombres", une adaptation audacieuse faisant briller sur grand écran les thèmes centraux développés dans ses écrits précédents. Parallèlement à ces succès bien mérités venait également une période sombre… Alors même que son étoile brillait toujours plus intensément sur la scène artistique québécoise... Une question taraudait parfois l'esprit fragile du créateur : Est-ce que cet élan serait suffisant pour nourrir durablement toutes ces passions ? Que serait devenu cet artiste si quelque chose venait troubler cet équilibre précaire entre création et reconnaissance ? Peut-être qu’il aurait pu choisir un chemin différent ; peut-être qu’il aurait pu abandonner face aux incertitudes inhérentes au milieu artistique... Mais non chaque défi renforçait encore davantage sa volonté créatrice! Tout artiste traverse inévitablement ces tempêtes intérieures ; elles forgent leur caractère autant que leur art ! Le temps continua inexorablement son cours jusqu'à ce jour fatidique du 3 septembre 2012… La nouvelle tomba comme un couperet : Michel Cailloux avait quitté ce monde après avoir laissé derrière lui un héritage littéraire précieux. Les réseaux sociaux regorgèrent alors d’hommages touchants venant tantôt d'amis proches tantôt d’admirateurs anonymes dont nombre avaient été profondément influencés par ses mots. Ironiquement donc – tout en sachant parfaitement comment vivre intensément chaque instant – c’était bel et bien cette nature éphémère qui façonnait désormais toute pensée liée à celui-ci ! Aujourd’hui encore… Son nom résonne parmi ceux ayant contribué significativement au rayonnement culturel francophone au Canada ; mais surtout chez tous ceux ayant eu la chance ou l'honneur de plonger leurs regards dans ses œuvres poignantes ! Pour beaucoup maintenant notamment parmi les jeunes générations aspirant eux-mêmes vers ces métiers artistiques – existant sous influence technologique moderne étonnante ! Ils découvrent peut-être encore aujourd'hui cet auteur fascinant dont chaque livre révèle délicatement textures émotionnelles complexes autour du quotidien humain ainsi quelques vérités universelles oubliées… Ce lien intemporel entre passé artistique vibrant versus présent culturel contemporain devient évident lorsque nous observons comment aujourd’hui encore certaines expressions issues directement ou indirectement influencées par Jean-Paul Sartre semblent peuplant nos conversations quotidiennes tout autant que celles sur plateformes numériques émergentes telles TikTok où on parle maintenant autant poésie contemporaine ! Ainsi donc… Qui sait quelles autres réflexions puissantes auraient émergé si seulement Michel Cailloux avait eu plus longtemps pour raconter ces histoires profondes ? C’est assurément là toute beauté intrinsèque inhérente aux créations littéraires ; bien plus puissantes car elles perdurent tel reflet infini flottant déjà entre ciel étoilé transcendant temps !