1879 : Idola Saint-Jean, journaliste, éducatrice et féministe canadienne († 6 avril 1945).

Née dans un petit village du Québec, Idola Saint-Jean a fait son entrée dans le monde en 1879, alors que le Canada se préparait à entrer dans une ère de changements sociaux et politiques. Cependant, la jeune Idola ne pouvait pas imaginer que son nom serait gravé dans l'histoire comme celui d'une pionnière du féminisme canadien. L'éducation était un privilège rare pour les femmes à cette époque, mais avec une détermination inébranlable et un esprit éclairé, elle s'est lancée sur le chemin de l'apprentissage.Idola a commencé sa carrière comme enseignante. Malgré cela, il lui manquait quelque chose : la volonté de transformer la société par l'éducation. Elle a alors pris conscience que les femmes étaient souvent considérées comme des citoyennes de seconde zone, confinées aux rôles traditionnels d'épouse et de mère. Peut-être était-ce ce constat qui l’a poussée à devenir journaliste un métier risqué pour une femme à la fin du XIXe siècle. Elle s'est frayé un chemin parmi les colonnes des journaux avec une plume aiguisée et passionnée.Ironiquement, son premier article publié a porté sur les droits des femmes ; ce fut le début d'une série d'initiatives qui ont jeté les bases du mouvement féministe au Canada francophone. Ses écrits dénonçaient non seulement l'inégalité entre les sexes mais aussi la condition précaire des travailleurs au sein d'une société en pleine industrialisation. Dans une interview de rue, un admirateur a déclaré : « Elle n'écrit pas juste pour elle-même ; elle parle pour toutes celles qui n'ont pas voix ! »Au fil des années, Idola est devenue non seulement une voix influente dans le domaine journalistique mais aussi une éducatrice respectée qui croyait fermement que l'accès à l'éducation était essentiel pour émanciper les femmes. Peut-être qu'elle imaginait déjà un futur où chaque petite fille pourrait rêver plus grand qu’un mariage ou une simple vie domestique... En 1912, elle fonda la Fédération nationale Saint-Jean-Baptiste – organe militant œuvrant pour les droits civiques et politiques des femmes.L'audace d'Idola ne connaissait aucune limite : elle avait également compris qu'il ne suffisait pas simplement d’écrire ou de parler ; il fallait agir ! Ainsi, sans hésitation ni peur face aux critiques souvent virulentes qu’elle recevait après tout, contester le statu quo avait ses conséquences elle s'impliqua directement dans plusieurs luttes sociales et politiques.Malgré cela... on lui reprochait souvent son engagement jugé excessif par certaines factions conservatrices de la société québécoise. Ces attaques personnelles ne faisaient que renforcer sa détermination; chaque affront devenait un carburant alimentant son combat contre l'injustice.En parallèle à ses activités journalistiques et éducatives ou peut-être même grâce à elles Idola développa également des relations professionnelles solides avec d'autres figures féministes contemporaines. Qui sait quelles conversations passionnées ont eu lieu autour d'une tasse de café ? Il est fort probable qu'elles discutaient déjà des défis auxquels elles faisaient face au quotidien tout en rêvant d'un monde où leurs filles auraient davantage d'opportunités.La première guerre mondiale marqua également un tournant significatif dans sa vie personnelle et professionnelle ; alors que beaucoup voyaient leur rôle restreint pendant cette période tumultueuse... Idola parvint habilement à canaliser ses frustrations vers le plaidoyer pour la reconnaissance des contributions féminines tant sur le front intérieur qu'extérieur durant ces temps difficiles.Les années passèrent vite et en 1945, alors qu’elle était entourée par ceux dont elle avait forgé le destin grâce à ses luttes incessantes Idola s’éteignit paisiblement; pourtant son héritage demeura vibrant au cœur du mouvement féministe canadien. Les historiens racontent que lors des funérailles organisées en son honneur… plusieurs figures contemporaines firent preuve de gratitude envers celle qui avait ouvert tant de portes fermées auparavant !Aujourd'hui encore... cet héritage perdure sous forme d'associations militantes inspirées par ses idées audacieuses! Le regard critique porté sur notre société actuelle trouve écho auprès des générations nouvelles: cette soif irrépressible de justice sociale… ce désir ardent d’égalité résonne puissamment chez ceux qui aspirent toujours à plus!Peut-être Ironiquement aujourd’hui encore… lorsque nous observons certains débats sur l’égalité entre hommes et femmes se tenant encore trop souvent autour usuellement convenue près du café matinal… on réalise combien il reste encore tant À FAIRE! La mémoire vive laissée par Idola Saint-Jean continue ainsi nourrir nos réflexions collectives face aux enjeux actuels! Qui sait quelles autres figures inspirantes émergeront demain grâce aux efforts conjoints déjà tracés hier ?