1964 : Helen Benson, universitaire néo-zélandaise (° 25 janvier 1886).

Dans une petite ville de Nouvelle-Zélande, au cœur du tournant du XXe siècle, une enfant voit le jour. C'était le 25 janvier 1886 et Helen Benson n'était pas simplement un autre bébé dans cette communauté. Avec ses yeux brillants et sa curiosité insatiable, elle semblait destinée à devenir un phare d'intellect dans un monde en pleine mutation. Élevée dans une famille qui valorisait l'éducation, Helen a grandi en écoutant des histoires de grands penseurs et d'innovateurs qui avaient façonné son pays. Pourtant, malgré la richesse intellectuelle qui l'entourait, les défis ne manquaient pas. L'éducation supérieure pour les femmes était encore considérée comme un luxe plutôt qu'un droit. Cependant, alors que les années passaient et que les luttes pour l'égalité des sexes commençaient à prendre de l'ampleur dans le monde entier, Helen se fraya un chemin vers les salles de classe universitaires défiant ainsi les attentes sociétales de son époque. Cela a commencé avec des études en arts libéraux ; mais bien vite, elle s'est tournée vers la biologie peut-être attirée par cette discipline qui cherchait à comprendre le vivant sous toutes ses formes. Elle est devenue l'une des premières femmes à obtenir un diplôme universitaire en Nouvelle-Zélande. Cela aurait pu sembler être une simple victoire personnelle... Pourtant, cela marquait aussi le début d'un parcours qui influencerait toute une génération d'étudiantes. Malgré cela, ses ambitions ne s'arrêtaient pas là ! En raison de son engagement envers la science et l'éducation féminine, elle a décidé de poursuivre ses études à l’étranger. En effet, comme elle aimait souvent dire : « L'inconnu est où se trouvent les opportunités ! » Ainsi commence son aventure dans les universités britanniques puis américaines où chaque étape était pavée d'obstacles sociaux qu'elle devait surmonter avec brio. Lorsqu'elle revient enfin chez elle après ces années formatrices pleine d'idées innovantes et de perspectives nouvelles Helen a dû faire face à une réalité amère : bien que ses qualifications soient impressionnantes sur papier... Le système éducatif néo-zélandais avait encore beaucoup de progrès à faire concernant la reconnaissance des compétences féminines. Ironiquement pourtant ! Son retour au pays coïncide avec un moment charnière : la montée du mouvement féministe au début des années 1960. Peut-être que c'était ce contexte socio-culturel qui lui permettait enfin d’exprimer son potentiel sans retenue ? Ses premières contributions académiques ont été révolutionnaires pour ce petit pays insulaire ; non seulement par leur contenu mais également par leur audace ! Au fil des ans… Les conférences qu’elle donnait captivèrent rapidement tant hommes que femmes ; elle y défendit ardemment la place des femmes dans tous les domaines scientifiques ! Les étudiants affluaient vers elle non seulement pour apprendre… Mais aussi pour comprendre comment naviguer dans ce nouveau paysage éducatif moderne où chaque voix comptait davantage. Peut-être est-ce là où réside le secret derrière sa réussite ? Son approche empathique conjuguée avec sa rigueur intellectuelle créa autour d’elle une atmosphère unique propice aux échanges fructueux… Des discussions animées jaillissaient même en dehors des murs universitaires alors qu'Helen encouragea chacun à remettre en question leurs propres préjugés tout en stimulant leurs esprits critiques ! Cependant… La reconnaissance officielle tardera plus longtemps qu’escompté malgré tout ce travail acharné... C’était frustrant car même si certaines institutions commençaient lentement à embrasser ces nouvelles idées progressistes – il y avait toujours cette résistance tenace provenant du milieu conservateur traditionnel… À mesure que nous avançons vers le milieu du siècle dernier... Sa notoriété grandissait parallèlement aux luttes sociales menées autour du globe ; sans doute ces révolutions résonnaient-elles fortement auprès d'elle car elles étaient autant politiques qu'intellectuelles...! Qui sait quelles conversations fascinantes ont eu lieu entre Helen et ses collègues lors de soirées dédiées aux enjeux contemporains ? Malheureusement... La vie académique n’est jamais exempte d’intrigues ni même parfois injustices – alors même qu’elle consolidait sa réputation grâce au soutien croissant parmi ses pairs; certains rivaux voulaient voir tomber celle qui menaçait leur hégémonie intellectuelle établies depuis trop longtemps ! Ces luttes internes peuvent parfois sembler désespérantes mais probablement renforcèrent davantage sa détermination... Puis vint finalement cet événement tragique : Alors qu’elle terminait ce qui allait être son ouvrage majeur sur l’évolution naturelle et sociale ; celle-ci fut brutalement interrompue par une maladie soudaine; laissant ainsi son œuvre inachevée mais pas oubliée… Ses derniers jours furent marqués par cette lutte silencieuse entre espoir et résignation tandis que ceux ayant partagé sa passion se rassemblaient autour d'elle offrant soutien affectueux malgré tout … Peut-être s'interrogeaient-ils déjà sur comment pérenniser cet héritage si précieux ?! Finalement décédée en 1964 laissant derrière elle non seulement tant de souvenirs vivants mais également toute une génération inspirée par son courageux exemple herborisant désormais entre ces murs académiques remplis comme jamais auparavant ! Aujourd'hui encore… Son nom demeure gravé parmi ceux célébrés pour avoir ouvert la voie aux futures générations scientifiques; car il ne fait aucun doute que sans cet engagement farouche peu avant-gardiste; nous serions toujours confrontés aux mêmes obstacles obstinés enfouis profondément ancrés depuis trop longtemps… En fin compte … Peut-on dire que même après toutes ces décennies écoulées – on peut observer combien il reste crucial aujourd’hui encore défendre activement nos droits ?! Les combats menés jadis continuent certes! Avec force renouvelée là où tant espéraient juste “faire bouger les lignes”…