1900 : Alessandro Blasetti, réalisateur italien († 1er février 1987).

Peut-être était-ce là un appel du destin ? L'envie de créer et de raconter des histoires visuelles pulsait en lui comme un feu intérieur.En 1929, après avoir commencé sa carrière comme critique de cinéma et scénariste, Blasetti se lance enfin dans la réalisation. Son premier film, "Sogni di Gloria", est une œuvre audacieuse qui fait écho à ses aspirations artistiques tout en posant les jalons d'une carrière remarquable. Pourtant, le chemin n’est pas sans embûches ; malgré l'accueil mitigé du public initialement, ce jeune réalisateur persévère avec passion.Peu après sa première incursion dans la réalisation, il prend une décision audacieuse : se concentrer sur le genre du film historique. Avec "La guerra è guerra" en 1931 et "Nell'anno del Signore" en 1939, il forge un lien unique entre passé historique et émotion humaine.

Cependant, cette ambition artistique n’est pas seulement motivée par un désir esthétique c'est aussi une réponse au contexte politique troublé de l’Italie fasciste.Les années 1940 marquent un tournant décisif pour Alessandro Blasetti : c’est durant cette période qu’il réalise certaines de ses œuvres les plus emblématiques telles que "Vecchia guardia" (1941) ou "Quattro passi fra le nuvole" (1942). Ces films ne sont pas simplement des divertissements ; ils capturent l’âme italienne d’une époque où tout semblait s’effondrer autour d'eux... Mais peut-être que c'est précisément cette atmosphère chaotique qui a permis à Blasetti d'explorer des thèmes universels tels que l'amour face à l'adversité ou la recherche d'identité ?Ironiquement encore une fois, alors qu'il dépeint souvent des histoires tragiques et complexes sur grand écran, sa personnalité reste empreinte d’une chaleur humaine inestimable ! Les témoignages soulignent combien il était accessible et aimable un contraste frappant avec certains cinéastes de son temps qui cultivaient le mystère...Au fil des décennies suivantes, sa vision cinématographique évolue vers des styles plus variés tout en conservant son empreinte singulière. En 1950 sort "La corona di ferro", où il aborde les thèmes du pouvoir et du sacrifice avec finesse presque comme si chaque scène évoquait des réalités intemporelles toujours pertinentes aujourd'hui.L’héritage laissé par Blasetti est immense ; on pourrait presque dire qu’il a façonné non seulement le cinéma italien mais également influencé toute une génération de réalisateurs internationaux ! De Federico Fellini à Luchino Visconti...

chacun reconnaît avoir puisé inspiration dans ses œuvres vibrantes.Cependant... tous ne partagent pas cet avis enthousiaste ! Certains critiques ont jugé que son style devenait trop anachronique face aux évolutions rapides du cinéma mondial durant les années 1960-1970. Peut-être cela aurait-il pu déstabiliser quelqu'un moins résilient ? Mais pour Blasetti... jamais !Alors qu'il entame les dernières étapes de sa carrière cinématographique durant ces années tumultueuses marquées par divers bouleversements politiques tant internes qu'internationaux… Il continue cependant à tourner jusqu'à la fin des années 1970 une véritable légende vivante dont chaque film témoigne d’une vision artistique précieuse !Le terme même 'cinéma' évoque souvent pour beaucoup la lumière vive des projecteurs modernes… Pourtant quand on parle aujourd'hui d'Alessandro Blasetti c'est toute une époque qui résonne encore ! En effet… certains disent même qu’à travers son regard créatif , il savait rendre visibles ces émotions humaines si profondément enfouies sous nos sociétés contemporaines parfois glaciales...Et finalement vient ce jour fatidique du 1er février 1987 ; ce moment où cet artiste passionné nous quitte définitivement laissant derrière lui non seulement ses chefs-d'œuvre mais aussi une empreinte indélébile sur notre culture collective…Aujourd’hui encore...

alors même que nous cliquons distraitement entre différentes plateformes numériques pour consommer nos contenus audiovisuels l'héritage blassetien demeure bien vivant! Qui sait combien parmi nous ressentent encore cette nostalgie pour ces récits poignants qui faisaient vibrer nos âmes tantôt exaltées tantôt tourmentées ?Les historiens racontent souvent comment ses films continuent leur chemin furtif dans les méandres oubliés mais précieuxde nos mémoires collectives… Chaque redécouverte fait office comme si on ouvrait doucement un livre poussiéreux contenant toutes ces vérités cachées sur notre humanité…Ainsi... tandis que nous observons comment Netflix ou Disney s'imposent actuellement au sommet n'oublions jamais ce pionnier dont l'héritage ne se limite pas uniquement aux succès commerciaux mais plutôt aux émotions puissantes soulevées devant chaque image projetée ! Car peut-être finalement c’est cela dont nous avons réellement besoin : plonger au cœur même racontars intimes défendant notre essence humaine face aux tumultes contemporains...