1870 : Richard Bedford Bennett, 11e Premier ministre du Canada, ayant exercé de 1930 à 1935 († 26 juin 1947).

Les défis économiques étaient omniprésents et la lutte pour la reconnaissance des droits canadiens était sur toutes les lèvres. Cependant, malgré ces adversités initiales, il ne se laissa pas décourager. Élevé dans une famille modeste mais déterminée, il nourrissait des ambitions qui dépassaient de loin son milieu d'origine. À peine âgé de 20 ans, Bennett s'illustre dans le monde juridique après avoir obtenu son diplôme en droit à l'Université de Dalhousie.

Ce parcours académique lui offre non seulement les outils nécessaires pour défendre ses idées souvent controversées mais également un réseau solide qui propulse sa carrière politique. Peut-être que ce bagage éducatif lui confère cette audace et cette confiance qui le caractériseront plus tard comme Premier ministre. La montée vers le pouvoir n'est pas sans embûches. Il est élu député conservateur en 1911 et commence rapidement à gagner en notoriété au sein du parti.

Cependant, cela ne s'est pas fait sans critiques acerbes ses adversaires politiques voient souvent en lui un opportuniste plutôt qu'un véritable leader engagé pour le bien public. Cette perception pourrait bien être l'une des raisons qui expliqueront sa popularité fluctuante durant sa carrière. Puis vient 1930... Dans un contexte mondial marqué par la Grande Dépression et une instabilité économique alarmante, Richard Bennett prend les rênes du pays en tant que 11e Premier ministre du Canada après avoir remporté les élections avec une promesse de relance économique audacieuse.

La situation semble désespérée : des millions de Canadiens sont touchés par le chômage et la pauvreté croissante est visible dans chaque coin de rue alors qu'il se tient devant son miroir ce jour-là pour prêter serment... Mais voilà que sa vision d’un Canada florissant semble parfois plus théorique que pratique ! En effet... Il adopte une série de mesures controversées visant à stimuler l'économie : il lance des projets d'infrastructure ambitieux tout en tentant désespérément d’imposer une protection accrue aux industries canadiennes face à la concurrence étrangère pourtant ces efforts ne suffisent pas toujours à rassurer ceux qui souffrent sur le terrain. Ironiquement...

Ses décisions sont accueillies avec scepticisme par plusieurs provinces qui voient leurs besoins spécifiques ignorés au profit d'une approche centralisée perçue comme déconnectée des réalités locales ! Sa popularité commence lentement mais sûrement à chuter alors qu'il devient symbolique d'un gouvernement insensible aux plaintes croissantes des citoyens canadiens pris au piège par la crise économique. Pendant ces années difficiles... Peut-être qu’une petite voix intérieure lui murmure que son rêve deviendra réalité si seulement il persévère ? Alors qu'il tente tant bien que mal de maintenir l'espoir parmi ses concitoyens par ses discours passionnés sur les podiums publics cela reste insuffisant face aux échecs économiques persistants... Les élections générales de 1935 sont fatales pour Bennett ; malgré tous ses efforts acharnés pendant ces années chaotiques… L’ascension fulgurante du Parti libéral sous William Lyon Mackenzie King balaye littéralement son gouvernement ! En attendant que les résultats tombent… Il doit faire face à une réalité cruelle : celui qui avait promis prospérité finira derrière un desk où se dessinent déjà les contours amers de l’échec politique ! Bien sûr… On pourrait dire qu’il aurait pu apprendre davantage grâce aux critiques reçues durant son mandat ! Malgré cela...

Au lieu de disparaître complètement du paysage politique canadien après avoir quitté le poste suprême il choisit finalement l’exil volontaire vers Londres où il poursuivra sa carrière dans divers secteurs tout en vivant avec ce sentiment amer que peut-être… just maybe … il aurait pu changer quelque chose… Après plusieurs années passées loin du sol canadien… Le retour définitif sur cette terre natale ne sera cependant pas synonyme de rédemption ; c’est là qu’il rendra finalement son dernier souffle le 26 juin 1947 laissant derrière lui non seulement un héritage ambivalent mais également des questions concernant ce rôle essentiel joué entre crises politiques & économiques lors défi auquel fut confronté cette grande nation naissante ! Aujourd'hui encore… Les Canadiens se souviennent parfois avec ironie comment certains débats autour des politiques économiques mises œuvre sous Bennett résonnent étrangement avec notre époque actuelle marquée elle aussi par turbulences financières; allant jusqu'à voir surgir ici ou là quelques échos distordus venant troubler mémoire collective ! Qui sait si cet héritage perdurera aussi longtemps ? En tout cas… Son parcours restera gravé dans notre histoire comme celle d’un homme dont la détermination face aux tempêtes jamais avortées a su rappeler combien s'engager politiquement demande courage & résilience…