Albert Jenicot, footballeur international français mort pour la France (° 15 février 1885).

Il était une fois, dans un petit village de France, un enfant qui rêvait d'herbe verte et de ballons. Albert Jenicot est né le 15 février 1885, à une époque où le football commençait à peine à gagner en popularité sur le vieux continent. L'air frais du matin a vu son premier cri résonner au milieu des collines verdoyantes, mais déjà, la douceur de cette enfance ne devait pas durer. Peut-être que les étoiles avaient prévu pour lui un destin marqué par l'honneur et le sacrifice.Ses premières années furent bercées par la passion du sport. À l'école primaire, il courait après le ballon comme si sa vie en dépendait ce qui était ironique car, quelques décennies plus tard, il prouvera que la vie d'un homme peut se jouer sur un terrain aussi bien qu’au champ de bataille. Cependant, ce n’était pas seulement un simple jeu pour lui ; c'était une échappatoire aux réalités parfois sombres de sa jeunesse.À l'adolescence, son talent s'est véritablement révélé. Il a intégré les équipes locales et s'est vite fait remarquer par ses compétences exceptionnelles. En peu de temps, il attirera l’attention des clubs professionnels qui arpentaient les stades poussiéreux à la recherche de nouveaux prodiges. Albert ne savait pas encore que ces opportunités allaient changer sa vie à jamais.Malgré cela et tout au long des années 1900 il a eu plusieurs occasions d’évoluer dans des clubs prestigieux comme le Club Français ou le Stade Français. Ironiquement, alors qu'il grimpait les échelons du succès footballistique avec grâce et détermination, la menace d'une guerre mondiale commençait à planer sur l'Europe comme une ombre menaçante.À l'aube du XXe siècle, alors qu’il jouait son dernier match avant que la tempête n'éclate complètement – on racontait même qu’il avait inscrit deux buts décisifs lors d’une rencontre mémorable contre leurs rivaux – Albert savait pertinemment que sa vie allait prendre un tournant inattendu. Qui sait combien de temps encore pouvait-il goûter aux plaisirs simples d'un match sous les applaudissements enthousiastes ? La réponse viendrait bientôt.En effet, quand la Première Guerre mondiale éclata en 1914 éclatant comme une fusée dans la nuit noire chaque citoyen français fut appelé à servir son pays avec bravoure et honneur. La réalité fit irruption brutalement dans sa vie sportive ; ce qui auparavant avait été un terrain pour exprimer ses talents devenait désormais une scène où se jouaient des drames humains tragiques.Albert Jenicot s’engagea sans hésiter dans l'armée française avec cet esprit combattif qui faisait autrefois vibrer les foules sur le terrain vert du stade. Pourtant ici… c'était différent ! Les canons retentissaient là où résonnaient autrefois les chants joyeux des supporters ! Mais peut-être pensait-il qu’un jour ou l’autre - si tout se passait bien - il pourrait revenir jouer au football après avoir combattu vaillamment pour défendre son pays.Les mois passèrent... Les combats étaient féroces; les jours se transformaienrt en semaines puis en mois… Pourtant aucune victoire ne semblait pointer à l’horizon! Les batailles étaient brutales; chacune prenait son tribut sur ces jeunes hommes pleins de promesses... Pour Albert cependant la guerre était plus qu’un simple combat ; c'était aussi une épreuve personnelle! Il est donc revenu brièvement au pays pendant quelques congés pris ici et là durant cette période terrible… Mais chaque fois qu'il foulait ce sol familier où il avait grandi – je parie même – ressentant encore ses souvenirs d'enfant autour d'un ballon rond… il devait penser : « Cela doit être fini ! Je veux retrouver ma joie ! »Cependant... cela n’allait pas être possible !La guerre continua sans relâche tandis que chaque jour apporté son lot d’horreurs... Des amis tombèrent au combat; leur absence creusa ainsi toujours davantage cette plaie béante dans ses rêves perdus! Peut-être même voulait-il utiliser toute cette douleur pour y insuffler quelque chose de beau : marquer non seulement des buts mais également laisser derrière lui quelque chose qui dure !Sa bravoure fut mise à rude épreuve lors des offensives menées près de Verdun en 1916! Dans cet enfer terrifiant où seule régnent crainte et confusion... Il fit preuve d’un courage exemplaire face aux bombardements incessants… Sans doute espérait-il secrètement voir cette bataille devenir légendaire !Et puis vint ce jour tragique du 21 octobre 1916 : Alors qu'il défendit héroïquement ses camarades face aux assauts ennemis…, malheureusement,… c’est lui-même qui tomba sous les balles assassines laissant derrière lui non seulement ses rêves sportifs mais aussi tous ceux espérant pouvoir compter sur leur idole!Albert Jenicot mourut en héros! Son sacrifice soulève encore aujourd’hui tant admiration que respect ! On raconte même parmi ceux ayant vécu cette période sombre comment ils continuent parfois d’entendre parler du célèbre footballeur parmi leurs anciens camarades!Son corps fut retrouvé parmi tant autres victimes anonymes mais hélas précieuses! Ses funérailles furent dignes certes mais empreintes néanmoins bien sûr d'une tristesse indicible car tant restaient affligés par cette perte!Aujourd'hui encore - alors que nous regardons nos terrains modernes avec nostalgie - rappelons-nous toujours: ces joueurs héroïques ont ouvert notre chemin vers cet avenir radieux souvent oublié derrière nos drapeaux flottants…Peut-être devrions-nous chercher parfois vers notre passé tumultueux ? Surtout lorsque nous levons nos verres en hommage aux héros souvent invisibles dont certains portent pourtant fièrement leurs couleurs jusqu'à nos jours!Un peu ironique donc finalement : Comme tout bon joueur mérite reconnaissance après maints efforts acharnés … son héritage perdure malgré le passage irréversible du temps car celui-ci restera gravé éternellement dans notre mémoire collective…Le nom 'Albert Jenicot' sera toujours synonyme non seulement excellence sportive mais également fidélité envers notre patrie: tel est vraiment aujourd’hui son véritable héritage!