1990 : résolution no 678, du Conseil de sécurité des Nations unies, sur l'Irak et le Koweït, autorisant l'utilisation de la force pour l'application de la résolution no 660, et conduisant ainsi à la guerre du Koweït de début 1991.

Contexte Historique

En août 1990, l'Irak, dirigé par Saddam Hussein, a envahi le Koweït, un petit pays voisin riche en pétrole, entraînant une condamnation internationale immédiate. La communauté internationale, par le biais des Nations unies, a réagi en adoptant la Résolution 660, qui appelait à un retrait immédiat des troupes irakiennes. Le manque de réaction de l'Irak face à cette résolution a conduit le Conseil de sécurité à prendre des mesures plus sévères, culminant avec la Résolution 678.

Contenu de la Résolution 678

La Résolution 678 a donné un ultimatum à l'Irak, exigeant son retrait du Koweït d'ici le 15 janvier 1991, sous peine de mesures militaires. La résolution a été adoptée avec un large soutien des membres du Conseil de sécurité, témoignant de l'unité de la communauté internationale face à l'agression irakienne. Elle a été soutenue par une coalition de nations, comprenant les États-Unis, le Royaume-Uni, la France, et plusieurs pays arabes.

Conséquences de la Résolution

Le 16 janvier 1991, après l'échec des négociations et le refus persistant de l'Irak de se retirer, la coalition a lancé l'opération Tempête du désert. Ce conflit a marqué le début de la guerre du Koweït, qui a duré jusqu'à la libération du Koweït en février 1991. La guerre a non seulement abouti à la libération rapide du Koweït, mais a également eu des répercussions durables sur la dynamique géopolitique au Moyen-Orient.

Impact et Répercussions

La Résolution 678 reste un exemple significatif de l'utilisation du pouvoir de la communauté internationale pour faire face à une agression. Cependant, la guerre a également eu des conséquences humanitaires dévastatrices, notamment des pertes civiles et des violations des droits de l'homme. De plus, les tensions entre l'Irak et la communauté internationale ont persisté longtemps après la fin du conflit, contribuant à un climat d'instabilité dans la région.

Une décision cruciale : La Résolution n° 678 du Conseil de sécurité des Nations unies

Le 29 novembre 1990, à New York, au siège des Nations Unies, les membres du Conseil de sécurité ont pris une décision qui allait marquer l'histoire du Moyen-Orient. À cette époque, le monde entier retenait son souffle alors que les tensions montaient entre l'Irak et le Koweït suite à l'invasion irakienne qui avait eu lieu quelques mois plus tôt. La Résolution n° 678 a été adoptée par quatorze des quinze membres du Conseil de sécurité, ne s'opposant que la France qui s'était abstenue. Cette résolution a ouvert la voie à l'utilisation de la force pour expulser les troupes irakiennes du Koweït.

Contexte historique et significations

L'invasion du Koweït par Saddam Hussein en août 1990 a soulevé une forte réaction internationale. Le Koweït était non seulement un petit pays riche en pétrole mais il représentait également un symbole d'intégrité territoriale pour le monde arabe et au-delà. Selon certaines sources, plus de deux millions d'hommes étaient rassemblés dans la région entourant le Golfe Persique pour préparer une intervention militaire. La Résolution n° 660 adoptée précédemment condamnait cette invasion et appelait à un retrait immédiat des troupes irakiennes.

Avec l'adoption de la Résolution n° 678, le Conseil confirmait son intention d'agir militairement si Irak ne se retirait pas avant le 15 janvier 1991. Ce qui suivit fut une série d'événements spectaculaires connus sous le nom d'Opération Tempête du Désert une offensive militaire massive menée par une coalition internationale comprenant notamment les États-Unis, le Royaume-Uni et plusieurs autres nations arabes et européennes.

Détails émotionnels : L'impact sur les civils

Le soir où la guerre a commencé, le 17 janvier 1991, beaucoup se sont réveillés en entendant non seulement des sirènes mais aussi des annonces désespérées sur les chaînes radio locales ; "Nous vous conseillons de rester chez vous", était un appel récurrent qui ajoutait à la tension ambiante.

A Bagdad ce jour-là, Mohamed Al-Hassan se souvient encore avec frayeur comment lui et sa famille avaient cherché refuge dans leur appartement exigu alors que les bombardements retentissaient au loin : "La terre tremblait sous mes pieds; je tenais mes enfants contre moi sans savoir si nous allions survivre." Il témoigne également que chaque coup résonnait comme un écho aux cris d'une nation dévastée.

Soutien international et solidarité avant l'ère numérique

L'adhésion mondiale contre l'agression irakienne s'est manifestée bien avant l'avènement des réseaux sociaux modernes tels qu'on connaît aujourd'hui. Les gouvernements communiquaient principalement via télégrammes diplomatiques urgents ou conférences presse live devant leurs citoyens respectifs pour soutenir leurs positions anti-Irakiennes.

A travers plusieurs pays européens mais aussi au sein même des nations arabes solidaires avec leur voisin koweitien attaqué par un régime oppressif comme celui-ci ; c'était une époque où chaque annonce radiodiffusée pourrait mobiliser rapidement masse humaine dans les rues avec affiches proclamant “Liberté pour le Koweït!” Les rassemblements citoyens organisés avaient véritablement apporté lumière sur cet enjeu international au moment où chaque voix comptait face aux actions militaires imminentes.

Les conséquences tragiques : Une guerre destructrice

Après six semaines de bombardements intensifs réalisés par la coalition sous couverture aérienne – on estime que près de 100 000 soldats irakiens ont perdu la vie durant cette période avec environ 70% ayant été touchés dès lors que Ground War débuta en février suivant jusqu’à ce jour où effectivement plus de deux millions iraquiens furent déplacés depuis alors représentant approximativement deux tiers soit près moitié tout population ! Pour ces raisons on évoque souvent ce conflit nommé Guerre du Golfe comme étant particulièrement sanglant juste après toute cette effusion initiale - là où encore mille familles fût ainsi réduites à néant.

D'autres conséquences pèsent sur nos esprits: selon certains rapports mondiaux tels ceux établis par Human Rights Watch; on y décèle nombres horreurs perpétrées durant occupation parfois décrites comme crimes contre humanité commis envers innocents pris malheureusement dans tourmente militaire implacable… Environ deux millions deviennent réfugiés fuyez massacres subséquents tout en manquant déjà assistance alimentaire dû rupture approvisionnement basique tel eau propre/frais !

L'écho jusqu'à aujourd'hui : Répercussions durables sur la région

En date actuelle (2023), lorsqu’on évoque tensions persistantes levant maintenant côté Iran ou Syrie il est crucial aussi rappeler sentiments désenchantement généralisé envers structures politiques incapables faire entendre voix paisible solidaire entre peuples pourtant proches culturellement parlons langue arabe surtout partagé ensemble difficultés quotidiennes vécues surtout lorsque regards rivés événements tragiques révulsant notre histoire récente s’y mêlent autant diverse nuances impressionnante richesses traditions locales comme globalité semblable sujet majeur: droits humains etc…

Alors bien qu'il soit évident changement politique depuis lors suit insurrection diverse observée récemment mouvement “printemps arabe” émerge toutes régions divisées & oppositions illusoires prolongées ! On peut se poser question suivante :

"La communauté internationale a-t-elle réellement appris quelque chose suite tant souffrances humaines liées guerres passées ? Comment agir collectivement bâtir ponts cultures renforcer résilience future face incertitudes présentes sans tomber pièges répétés cycle violence encore interminable ? "