vote d'une résolution no 181, par l'assemblée générale des Nations unies, qui prévoit la partition de la Palestine mandataire en trois entités, avec la création d’un État juif et d’un État arabe, Jérusalem et sa proche banlieue étant placées sous contrôle international en tant que corpus separatum.
Contexte historique
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, la situation en Palestine était devenue de plus en plus tendue. Le mandat britannique sur la région s'approchait de son terme, et les tensions entre les communautés juive et arabe s'exacerbaient. Les Juifs aspiraient à établir un État en raison de l'Holocauste et des persécutions dont ils avaient souffert, tandis que les Arabes palestiniens revendiquaient également leurs droits sur le territoire.
Les principaux points de la résolution
La résolution 181 proposait :
- La création d'un État juif occupant environ 55% du territoire.
- Un État arabe comprenant environ 45% du territoire.
- La ville de Jérusalem et ses environs placées sous un régime international, désigné comme corpus separatum, afin de garantir l'accès et la protection des sites religieux pour toutes les communautés.
Réactions et conséquences
La réaction à la résolution a été extrêmement divisée. Le mouvement sioniste a salué le plan, le considérant comme une reconnaissance de leurs aspirations nationales. En revanche, les dirigeants arabes ont catégoriquement rejeté cette proposition, la qualifiant d'injuste et de contraire aux droits des Arabes palestiniens.
Les tensions ont rapidement débordé en violence, menant à la guerre arabo-israélienne de 1948 après la déclaration d'indépendance d'Israël le 14 mai 1948. Cette guerre a engendré des conséquences majeures, dont la Nakba pour les Palestiniens et la création de l'État d'Israël.
Un héritage durable
La résolution 181 a jeté les bases d'un débat qui perdure jusqu'à aujourd'hui. Bien que le plan de partition n'ait jamais été pleinement mis en œuvre, il reste un point de référence pour les négociations futures entre Israël et les Palestiniens. Les questions de frontières, de souveraineté et du statut de Jérusalem demeurent non résolues, héritages directs de ce qui aurait pu être un accord historique.
Le vote de la résolution n° 181 : Un tournant historique pour la Palestine
Que se passe-t-il lorsque des décennies de tensions politiques et sociales atteignent leur paroxysme ? Le 29 novembre 1947, à New York, une réponse radicale fut apportée par l'Assemblée générale des Nations Unies avec l'adoption de la résolution n° 181. Ce moment décisif a marqué une étape cruciale dans l'histoire du Moyen-Orient et demeure d'une importance capitale aujourd'hui.
Contexte historique : Les racines du conflit
Afin de comprendre pleinement la signification de cette résolution, il est essentiel d'explorer les racines historiques du conflit israélo-palestinien. À la fin du XIXe siècle, le mouvement sioniste a commencé à gagner en popularité, appelant à l'établissement d'un foyer national juif en Palestine. En parallèle, les Arabes palestiniens revendiquaient également leurs droits sur cette terre qu'ils considéraient comme leur patrie.
La déclaration Balfour de 1917 avait déjà ouvert la voie à des tensions croissantes en affirmant le soutien britannique à un « foyer national juif » en Palestine. À travers les décennies qui ont suivi, les conflits entre Juifs et Arabes se sont intensifiés, culminant après la Seconde Guerre mondiale lorsque des millions de Juifs cherchaient refuge face aux horreurs de l’Holocauste.
Le vote crucial : Une solution envisagée
La résolution n° 181 visait alors à proposer une solution pacifique au conflit grandissant entre ces deux communautés. Elle proposait un plan de partition pour diviser le territoire mandataire britannique en trois entités distinctes : un État juif et un État arabe avec Jérusalem sous contrôle international en tant que corpus separatum
L'Assemblée générale a voté pour cette résolution par une majorité marginale ; sur les 56 États membres présents, 33 ont voté en faveur tandis que 13 se sont opposés au projet . Cette division soulève aujourd’hui encore des débats passionnés quant à sa légitimité et son efficacité dans la quête d'une paix durable.
L'impact immédiat : Réactions variées
D’une part :, le leadership juif accueillit cette décision avec jubilation comme une reconnaissance internationale d’un État juif naissant. David Ben Gourion déclara que ce vote représentait « le début d’une nouvelle era » où les Juifs pourraient enfin vivre librement sur leur terre ancestrale.
D’autre part :, les dirigeants arabes voyaient cela comme une violation flagrante de leurs droits et aspirations nationales. On dit que lors d’un rassemblement au Caire quelques jours après le vote, des milliers d’Arabes palestiniens exprimèrent leur indignation face à ce qu’ils considéraient comme un vol manifeste de leurs terres.
Témoignages poignants : Les voix oubliées
Pendant ces tumultueuses semaines qui ont suivi le vote historique, certaines personnes furent prises dans cet engrenage tragique. Une femme âgée témoigne encore aujourd'hui des souvenirs douloureux qu’elle a vécu durant cette période: « Nous avons été forcés de quitter nos maisons sans savoir où aller... ma famille ne pouvait imaginer vivre ailleurs qu'à Jaffa », raconte Fatima A., réfugiée palestinienne âgée aujourd’hui de quatre-vingt-dix ans.
Soutien populaire avant l'ère numérique
Cet événement marquant ne serait pas sans échos dans la société civile. Avant l’avènement des médias sociaux modernes tels que Twitter ou Facebook qui facilitent actuellement instantanément les échanges informatifs autour du monde, il était courant pour des groupes communautaires et religieux locaux d'organiser des chaînes téléphoniques afin d'informer rapidement sur les décisions internationales influentes telles que celle-ci ou tout autre événement marquant relatif au conflit.
"La solidarité était palpable parmi nos voisins - nous avons passé beaucoup plus temps ensemble dans notre quartier pour discuter". - témoignage recueilli auprès résident lors de manifestations post-vote
L’héritage contemporain : Répercussions jusqu’à nos jours
Aujourd'hui encore, cette resolution continue non seulement d’influencer mais aussi parfois déchirer littéralement ses conséquences visibles via deux entités toujours non reconnues avec respectives ambitions nationales contradictoires : Israël occupé/en plein essor économique / territoires autonomes/états arabes menaçant… En effet selon certaines sources récentes près de deux millions d’habitants vivent dans des conditions très précaires dans Gaza pendant qu’Israël possède encore ses avancées technologiques remarquables… Tout ceci demeure désespérément éloigné compte tenu alors même que ce scénario ambitionnait initialement versle partage harmonieux !
Pistes futures et réflexions finales :
Nul doute donc qu'aujourd'hui alors même qu’en2022/2024 nous parlons tant sur réseaux sociaux autour thèmes évoqués ci-dessus tout cela pourrait servir davantage interagir puis favoriser meilleures compréhensions mutuelles … Est-ce ici seul enjeu restant car force reconnaitre si États-Unis gardent position politique incontournable or alors mainmise trop restrictive serait perdante ? Que ferons-nous individuellement si devions subir ruptures aussi fortes?