2017 : Richard Anderson, acteur américain (° 8 août 1926).

La lumière d'un studio de cinéma éclaire le visage d'un jeune homme à l'allure distinguée. Nous sommes dans les années 50, et ce dernier, fraîchement débarqué à Hollywood, rêve d'une carrière sur grand écran. Richard Anderson, né le 8 août 1926, ne pouvait pas se douter que son destin serait marqué par des rôles emblématiques qui captiveraient le cœur du public pendant des décennies. Malgré un début de carrière lent, avec seulement quelques apparitions timides dans des films mineurs, il a su se forger une place unique dans l'industrie cinématographique.Cependant, la route vers la célébrité n'était pas pavée de roses. À cette époque-là, le monde était en pleine mutation : la télévision prenait son essor et redéfinissait les lois du divertissement. Ironiquement, c'est sur petit écran que Richard a trouvé sa véritable vocation. En effet, il est devenu un visage familier grâce à son rôle emblématique de Oscar Goldman dans la série "L'homme qui valait trois milliards" durant les années 70. Ce personnage charismatique et déterminé lui a non seulement permis de conquérir le cœur des téléspectateurs mais également de créer une empreinte indélébile dans l'imaginaire collectif.Peut-être que sa plus grande force résidait dans sa capacité à incarner des personnages complexes tout en gardant une aura sympathique. Les historiens racontent qu'il avait cette rare aptitude à mêler gravité et légèreté ; une qualité qui lui aurait été essentielle lorsqu’il a partagé l’écran avec Lee Majors ou Lindsay Wagner au sommet de leur popularité.La carrière d'Anderson n’a jamais été cantonnée aux séries télévisées. Bien au contraire ! En parallèle de ses succès télévisuels car oui ! Il était également très présent au cinéma il a croisé la route de grands noms comme Joan Crawford et John Wayne lors de ses débuts ; chaque rencontre étant autant d'opportunités pour lui d'apprendre les subtilités du métier... Cela dit, ce milieu exigeant peut être impitoyable : malgré plusieurs rôles marquants au cours des décennies suivantes notamment celui du Major General John Custer dans "The Last Command" (1955) Richard savait qu'il devait constamment évoluer pour rester pertinent.Son allure élégante et sa voix profonde ont fait forte impression chez les producteurs qui voyaient en lui un acteur capable d'endosser aussi bien des rôles dramatiques que comiques. Cependant... Malheureusement pour lui ! La tendance cinématographique changeait rapidement vers le style blockbuster qui privilégiait souvent l’action pure plutôt que les récits profonds où il excellait tant.À mesure que les années passaient et qu’il atteignait un âge où beaucoup choisiraient la retraite dorée ou seraient oubliés par l’industrie... Ironiquement encore ! C’est à cette période qu’Anderson est devenu encore plus actif sur nos écrans : apparaissant dans diverses séries populaires telles que "La femme bionique" ou même "Dynasty". Qui sait ? Peut-être ces choix audacieux étaient-ils motivés par une passion inextinguible pour son art !En parallèle à sa carrière florissante sur le petit écran durant ces années-là... Son passage inattendu derrière la caméra avec quelques projets moins connus témoigne aussi d’une curiosité insatiable envers tous les aspects du monde cinématographique – un exemple révélateur restant son implication comme producteur exécutif sur plusieurs productions alors qu’il continuait encore à jouer face caméra!Les derniers chapitres de sa vie furent marqués par une certaine tranquillité alors même qu’il continuait doucement mais sûrement apparaître ici ou là; Richard Anderson ne semblait pas désireux de tirer définitivement sa révérence! Peut-être était-ce parce qu’au fond… Il savait parfaitement comment apprécier chaque instant passé sous ces lumières scintillantes – cherchant toujours cet équilibre entre travailler dur tout en savourant chaque moment… Pour ceux qui ont eu le privilège de connaître cet homme haut en couleur directement ou indirectement – cela représentera sans doute un souvenir précieux; ils parlent souvent d’une générosité authentique mélangée à ce charme naturel typiquement hollywoodien !Puis vient finalement cette date tragique ; celle où nous avons appris son décès en 2017... Un événement marquant non seulement pour ses proches mais également pour ses fans du monde entier! Bien sûr! Les hommages affluèrent tels des ruisseaux après un orage; artistes contemporains partageant anecdotes touchantes tandis que ceux ayant grandi devant leurs écrans nostalgiques rappelaient combien ses performances avaient compté.Aujourd’hui encore lorsque nous pensons aux grandes figures emblématiques ayant marqué l’histoire visuelle américaine – difficilement pouvons-nous oublier cet acteur au regard perçant; même si aujourd’hui beaucoup pourraient dire n’avoir jamais entendu parler auparavant… Pourtant oui! Son héritage demeure ancré profondément parmi toutes ces œuvres auxquelles tant se réfèrent lorsque questionnés concernant ce passage entre tradition classique & modernité… Car après tout: rien ne vaut mieux qu’un bon film ; n’est-ce pas?À travers toutes ces réflexions éparses concernant cette vie fascinante illuminée par écran interposé; on réalise soudainement combien notre société actuelle continue de célébrer sans relâche ceux ayant osé sortir leur tête hors du lot  comme Richard Anderson y réussit si brillamment autrefois !Ainsi donc ! Que pourrait-on espérer voir apparaître lors d’un futur retour? Peut-être retrouver ce mélange particulier mêlant humour corrosif & drame poignant ? Qui sait quelle influence continueront-ils laisser derrière eux ? Certainement suffisamment puissante afin inspirer plusieurs générations futures…Richard Anderson reste bien plus qu’un simple nom inscrit quelque part sur un listing quelconque : c’est avant tout toute une époque brillante connue sous divers angles – portant chacun témoignage vivant héréditaire illustratif tout autant riche coloré vibratoire magnifiquement harmonieux…