1707 : Leonhard Euler, mathématicien et physicien suisse († 18 septembre 1783).

Leonhard Euler... En ce début du XVIIIe siècle, alors que l’Europe est en pleine effervescence intellectuelle, un prodige de la mathématique fait ses premiers pas. Né à Bâle en 1707, ce jeune garçon n’était pas simplement destiné à vivre dans l’ombre des autres; il était promis à un avenir éclatant. Sa famille, imprégnée de culture et d’éducation, nourrissait des ambitions pour lui. Son père était un pasteur et son influence s'est rapidement fait sentir dans la curiosité intellectuelle qui allait marquer le parcours d’Euler.À peine âgé de treize ans, Léonard s'inscrit à l'université de Bâle. Ce choix peut sembler précipité pour beaucoup, mais pour ceux qui connaissaient son intelligence précoce et sa soif insatiable de savoir, il ne faisait aucun doute qu’il pouvait rivaliser avec les plus brillants esprits du moment. Toutefois, cette brillante carrière scientifique n’allait pas être sans défis. Malgré cela, son esprit vif et sa passion inextinguible pour les mathématiques le propulsent au cœur d'un univers où il sera bientôt une figure incontournable.Les années passent et on voit naître ses premières publications... Ses travaux sur le calcul infinitésimal ainsi que sur la théorie des graphes se distinguent déjà par leur audace et leur originalité. Cependant, c'est lors d'un voyage à Saint-Pétersbourg qu'Euler vit sa carrière décoller véritablement. Dans cette ville dynamique où l’Académie des sciences prospère sous les auspices de Catherine II qui sait? Peut-être avait-elle flairé en lui un esprit capable d'élever la Russie sur la scène scientifique mondiale il prend place parmi les grands penseurs de son temps.Ironiquement… alors qu’il est célébré comme un génie dans cette nouvelle patrie adoptive, une tragédie personnelle le frappe : il perd sa première femme en 1773 après plusieurs années de vie commune. La douleur qu'il ressent pourrait avoir paralysé n'importe quel autre homme… Pourtant, Leonhard trouve refuge dans ses équations et ses théorèmes! C’est presque fascinant: au lieu de se laisser submerger par le chagrin ou l’angoisse existentielle qui guette tant d’artistes ou scientifiques face aux épreuves personnelles...Peut-être que c’est là où réside une part importante du génie d’Euler : transformer chaque souffrance en inspiration créative! Les pages blanches commencent alors à se remplir frénétiquement sous sa plume; si bien que certains disent même qu’il aurait produit plus de travaux après cette perte tragique… Qui sait combien d’idées brillantes ont vu le jour lorsque les étoiles semblaient s’assombrir autour de lui? Cela ne fera-t-il pas résonner une note familière chez tous ceux qui tentent aujourd'hui encore d'extraire beauté ou vérité même dans les moments sombres?Les mathématiques deviennent alors son exutoire ! Il publie plus de 800 articles tout au long de sa vie certains disent même que ce chiffre pourrait atteindre 900! Sa capacité à développer des concepts abstraits avec une telle clarté est devenue légendaire; presque comme s'il peignait avec des chiffres au lieu de couleurs! Au-delà du simple calcul algébrique... Ses contributions couvrent tantôt la topologie… tantôt l'optique... En effet: c’est ce mélange unique entre rigueur scientifique et imagination illimitée qui caractérise véritablement cet esprit exceptionnel!Cependant… tout ne reste pas figé dans cet univers idéal ; Euler fait aussi face aux critiques acerbes provenant notamment des académiciens plus conservateurs qui remettent souvent en question certaines théories nouvelles jugées trop audacieuses! Mais là encore : plutôt que céder devant ces adversités – comme beaucoup auraient pu faire – Euler persiste! Il transforme chaque critique en motivation supplémentaire pour approfondir ses recherches!Le panorama européen évolue aussi autour... L’Illuminisme bat son plein pendant ces décennies-là ; laissez-moi vous dire comment cela a joué sur l’esprit déjà farouchement curieux d’Euler ! Alors que les idées rationalistes émergent tel un souffle nouveau porteur d’espoir ; quelque chose me dit qu’en lui se mêlent admiration mais aussi légère crainte devant ces changements sociaux rapides.Ses relations amicales avec contemporains tels que D’Alembert ou Lagrange sont témoins non seulement du respect mutuel entre savants mais également illustrent quelque chose profondément humain: la collaboration! Cela nous rappelle combien notre recherche individuelle peut parfois nécessiter celle collective afin d’élever nos découvertes vers des sommets encore inexplorés…Après toutes ces années passées à enrichir nos connaissances sur divers sujets scientifiques... Il serait peut-être juste ici également non seulement remercier Euler mais réfléchir également aux enseignements tirés grâce à lui: comment pouvons-nous aujourd’hui répliquer cet esprit collaboratif? Comment pouvons-nous relever ensemble les défis contemporains ? Les questions restent ouvertes…En regardant vers la fin de sa vie – même si cela semble inacceptable – je dois évoquer ici ces évènements tragiques finissant par assombrir mon propre enthousiasme souterrain envers ce personnage incroyable; car oui voilà… En 1771 Leonhard subit une grave maladie oculaire entraînant peu à peu une perte progressive totale jusqu’à devenir aveugle ! Imaginez donc cet homme dont toute vie a été dédiée aux mathématiques plongé soudainement dans l’obscurité…Pourtant ironie suprême : jamais cet obstacle ne freine vraiment son élan créatif ! Bien au contraire : ayant su travailler malgré tous ces défis auxquels beaucoup auraient renoncé; il continuera jusqu'à épuisement complet des dernières ressources dont disposaient encore ses neurones dopés par tantons exercices cérébraux quotidiens !Quand vient finalement le jour où Léonard quitte notre monde -le 18 septembre 1783- ... Je suppose qu’une partie essentielle aura laissé derrière elle autant admirateurs fascinés étonnés devant ce chemin parcouru non seulement sans fléchissement mais surtout empreint joie communicative lorsqu’il partagea amour sciences donnant envie autour !Aujourd’hui encore -près plus deux siècles après- nous nous accrochons aux formulations élégantes conçues autrefois par celui-ci -et voulons croire quelque chose persistera parmi héritage laissé intact suite passage temps car oui sans aucun doute quelques vérités fondamentales demeurent vibrantes éternelles puisant force vivante auprès mémoire intemporelle gens animés aspiration poursuivre ensemble quête sagesse !Cela dit je me permets conclure réflexion ici-même posant question simple mais cruciale: À quoi ressemblera demain grâce efforts bâtis hier ? Le nom 'Euler' continuera-t-il longtemps résonner au-delà frontières académiques ? Ou devons-nous nous résoudre laisser oublier grandeurs passées afin embrasser modernes lumières nouvelles apparues tout récemment ? …