1700 : Lambert Doomer, peintre néerlandais (° 11 février 1624).

En effet, alors qu'il s'adonne à ses premières esquisses avec un morceau de charbon trouvé sur le sol, il découvre une vérité fondamentale : ce qui est caché peut parfois révéler plus que ce qui est exposé au grand jour. Ce penchant pour l'obscurité ne fera que croître au fil des années, car malgré cela, Lambert se consacre entièrement à son art.Cependant, même en tant que jeune artiste prometteur dans un monde artistique en pleine effervescence où Rembrandt et Vermeer sculptent leur propre légende Doomer cherche désespérément sa voix unique parmi ces géants. Ironiquement, bien qu'il soit entouré par une telle brillance artistique, ses œuvres se distinguent par leur mélancolie poignante et leurs thèmes sombres. Alors qu'il se frotte aux peintres du Siècle d'Or néerlandais, il comprend lentement que sa vision du monde n'est pas celle des autres.Les années passent et chaque coup de pinceau devient une lutte contre ses propres démons intérieurs.

Peut-être qu'à travers chaque toile sombre représentant des scènes de paysans fatigués ou de paysages mélancoliques plongés dans le crépuscule naissant ces figures fatiguées racontent-elles son propre combat contre l’angoisse existentielle ? Qui sait si c’est cette introspection incessante qui lui permettrait d'atteindre des profondeurs artistiques inexplorées ?Doomer devient rapidement reconnu pour sa capacité unique à capturer les jeux d'ombre et de lumière sur ses toiles ; cependant cette reconnaissance vient avec son lot d’ombres également. Il se retrouve souvent isolé sur la scène artistique hollandaise... Un regard curieux ici et là mais peu véritablement intéressés par cette approche artistique atypique! Sa peinture est comme un murmure comparée aux cris éclatants de ses contemporains : elle évoque tristesse plutôt qu'émerveillement.Malgré cela ou peut-être grâce à cela il réussit à créer une œuvre emblématique intitulée "L'homme assis" où chaque détail témoigne non seulement du talent technique mais aussi d'un regard introspectif perçant dans l’âme humaine ! Les spectateurs sont transportés non seulement vers l'objet représenté mais également vers leurs propres réflexions intérieures...À ce moment-là, on pourrait dire que Doomer a commencé véritablement à parler sa vérité intérieure au travers des couleurs sombres et accablantes qui lui sont chères ! Mais comme beaucoup d’artistes avant lui... L'admiration ne s'accompagne pas toujours du succès financier ! Les difficultés matérielles commencent alors à peser lourdement sur son esprit déjà tourmenté…Ses amis proches disent souvent qu’il était 'l’homme derrière le miroir', celui capable de voir les reflets cachés derrière chacun… Cependant avec chaque coup porté sur la toile semblait résonner comme un tambour battant – une note tragique vibrante symbolisant ses luttes personnelles ainsi que celles des vies simples autour de lui! Qui sait si tout cela aura contribué aux mystères troublants qui imprègnent aujourd'hui encore certaines œuvres?Les années avancent inexorablement...

En 1700 pourtant! La mort frappe Lambert Doomer sans crier gare emportant avec elle cet esprit tourmenté dont les coups magistraux résonnent encore parmi ceux ayant eu le privilège de contempler ses créations! C’est ironique quand on y pense : alors même qu’il réalise enfin combien son travail est apprécié après tant d’années passées dans l'ombre… Il quitte ce monde !Aujourd'hui encore près de quatre siècles plus tard nous nous tournons vers cet artiste oublié dont la quête inlassable pour trouver beauté au cœur même du désespoir continue à inspirer tant ceux cherchant refuge face aux réalités cruelles du quotidien… Dans certains coins sombres pourtant lumineux museaux artistiques modernes émergent tels des fantômes… Là où émergent paradoxalement toutes sortes nouvelles tendances traduisant nostalgie pour ces êtres tourmentés méconnus!Les historiens racontent ainsi comment beaucoup ont redécouvert Doomer dernièrement ; notamment grâce aux expositions rétrospectives organisées autour du thème « Art & Souffrance » - rappel poignant selon lequel parfois … Le meilleur moyen traduit en art n’est autre chose qu’un reflet brut … Révélateur parfois déconcertant pourtant profondément humain !