1967 : Justine Lacoste-Beaubien, gestionnaire et philanthrope québécoise (° 1er octobre 1877).

Dans le cadre envoûtant de l’hiver québécois, un cri perça l’air glacial : c’était celui d’une petite fille, Justine Lacoste-Beaubien, née le 1er octobre 1877. Fille de la bourgeoisie montréalaise, son avenir semblait déjà tout tracé des privilèges inouïs dans une société en pleine effervescence. Cependant, dès son jeune âge, Justine a ressenti un appel plus grand que les conventions sociales de son temps. Peut-être était-ce ce désir ardent de briser les chaînes des attentes patriarcales qui lui ont valu d’être une figure emblématique dans le monde du management et de la philanthropie.

Elle grandit à Montréal, où les rues vibrent au rythme du progrès industriel et des idées novatrices. C’est là qu’elle a développé un esprit d’entreprise remarquable. À peine âgée de quinze ans, elle s’impliquait déjà dans diverses œuvres caritatives sa sensibilité aux injustices sociales la poussait à s’engager sans relâche pour les causes qui lui tenaient à cœur.

Malgré cela, il ne faut pas croire que tout fut simple pour cette pionnière. Au début du XXe siècle, les femmes étaient souvent cantonnées à des rôles subalternes ; pourtant Justine a défié ces normes avec audace. Elle débuta par un petit commerce familial dans le secteur textile une décision ironique étant donné que cette industrie était dominée par des hommes bien établis et puissants.

Ce commerce devint rapidement florissant grâce à son ingéniosité et sa détermination. La réputation de Justine comme gestionnaire efficace grandissait dans l’ombre d’un Québec en mutation rapide mais ce n’était pas suffisant pour elle ! Avec la même ferveur qu’elle avait mise pour bâtir son entreprise, elle commença à s’investir davantage dans des actions philanthropiques.

Cela ne passa pas inaperçu : certaines figures influentes du Québec commencèrent à reconnaître ses efforts acharnés. Pourtant, il semble qu’elle ait toujours souhaité demeurer discrète derrière ses œuvres plutôt que sous le feu des projecteurs médiatiques ! Dans une interview particulièrement révélatrice avec un journal local quelques années plus tard, elle confiait : « L’argent ne devrait jamais être l’objectif final… c’est l’impact sur notre communauté qui compte vraiment ». Des mots chargés d'une sagesse profonde qui sait combien d’autres auraient pu bénéficier d’une telle perspective ?

À mesure que sa notoriété grandissait, elle établit plusieurs fondations dédiées aux arts et aux sciences ; ces initiatives favorisaient non seulement les jeunes talents mais aussi le développement culturel du Québec tout entier. Par exemple, peut-être que sa plus grande contribution fut la création d’une bourse destinée aux étudiantes en médecine... Car après tout : pourquoi ne pas encourager celles qui désirent casser ces plafonds de verre si épais ?

Toutefois... au sommet de cette ascension impressionnante se trouvaient également des défis imprévus ! En 1930 se présenta une crise économique mondiale bouleversante; beaucoup auraient capitulé face à tant d’adversité cependant Justine choisit plutôt de redoubler ses efforts philanthropiques pour soutenir ceux qui avaient perdu leur emploi ou leur dignité durant cette période sombre.

Au fil des décennies suivantes… chaque projet mené par Justine résonnait comme un écho persistant contre les injustices ; elle devenait presque un symbole vivant du changement progressif vers l’égalité entre hommes et femmes au sein même du monde entrepreneurial québécois ! Qui sait combien sa résilience inspira ceux autour d’elle ?

Avec toutes ces luttes triomphantes culminant vers 1967 – année marquante où elle célébra son quatre-vingtième anniversaire – on pouvait presque entendre résonner son nom parmi ceux légendaires ayant façonné le Québec moderne...Cependant cette célébration fut assombrie par la mort imminente un dernier chapitre tragique qui devait frapper tel un coup foudroyant !Même alors qu’elle approchait inexorablement vers la fin peut-être ressentait-elle encore ce souffle ardent donnant vie à ses rêves? Ses projets foisonnaient jusqu’au dernier moment; ses œuvres étaient tant interconnectées qu’il était difficile désormais envisager cet héritage sans mentionner leur architecte dynamique: Justine Lacoste-Beaubien!Soulignant ainsi cet incroyable parcours… il est fascinant aujourd’hui encore comment nous pouvons voir l’écho vibrant de sa passion résonnant encore dans nos sociétés contemporaines - où chaque acte charitable aujourd’hui semble porter quelque chose de sa marque indélébile!Aujourd'hui plus que jamais - alors même que certains se battent contre les inégalités croissantes - nous devons garder vivante cette flamme allumée par celles comme Justine; car comme souvent dit: « Le véritable héritage n'est pas mesuré en argent ou pouvoir acquis mais bien plutôt ...comment nous avons touché nos semblables »! Une pensée réconfortante alors même que tant continuent leurs combats quotidiens pour assurer justice sociale...