1958 : « Saleri II » (Julián Sainz Martínez dit), matador espagnol (° 19 juin 1891).
Le soleil se lève sur l’Espagne en ce matin du 19 juin 1891. À l’ombre des arènes de la petite ville de Cuenca, un nouveau-né fait son apparition. Julián Sainz Martínez, appelé plus tard « Saleri II », n’a pas choisi de naître dans une famille ordinaire ; il est le fils d’un bouvier, ce qui le lie inextricablement à la culture taurine. Peut-être que dès ses premiers cris, les échos des cloches des taureaux résonnent en lui, annonçant une vie faite de bravoure et d’émotions fortes. Cependant, c'est à travers cette enfance modeste qu'il acquiert une force intérieure qui le distinguera plus tard dans l’arène.À l’adolescence, alors qu’il observe avec fascination les spectacles de cape et d’épée donnés par les matadors locaux, un désir ardent émerge en lui : celui de devenir matador. Malgré la désapprobation initiale de ses parents préoccupés par les dangers du métier il s’accroche à son rêve avec détermination. Ironiquement, cela coïncide avec une époque où la tauromachie commence à s’imposer comme un art à part entière en Espagne. Les arènes se remplissent pour célébrer ces duels entre homme et bête ; Julián sait que sa destinée l'attend là-bas.Sa première expérience dans le monde taurin survient lorsqu’il devient picador pour un matador reconnu. Ce rôle semble secondaire aux yeux des spectateurs souvent considérés comme des aides plutôt que des artistes mais il comprend vite que chaque coup porté a son importance et que chaque mouvement peut décider du sort d’un combat. C’est là qu’il forge son caractère, apprenant non seulement à respecter les taureaux majestueux mais aussi à maîtriser sa propre peur face au danger imminent.La lumière éclatante qui baignait ses débuts a fini par être ternie par la dure réalité : après quelques années d’apprentissage auprès des maîtres et sous le regard critique du public espagnol, il fait enfin ses débuts officiels dans une corrida marquante en 1915 à Madrid. Bien que novice sur le sable doré de Las Ventas temple sacré pour tout matador aspirant Saleri II ne laisse pas sa nervosité prendre le dessus ! La passion brûle dans ses gestes gracieux tandis qu’il exécute passes après passes avec élégance.Cependant, malgré ce début prometteur qui impressionne certains critiques enthousiastes d’autres demeurent sceptiques quant à sa capacité réelle ! Peut-être est-ce cette attitude ambivalente envers son talent qui poussera Julián vers encore plus d’exigences personnelles… C’est sans doute cette quête insatiable pour prouver sa valeur qui marquera profondément sa carrière tumultueuse.Les années passent et Saleri II connaît un succès croissant ; pourtant derrière chaque triomphe se cachent également des blessures physiques et psychologiques parfois invisibles au grand public ! La douleur devient son amie inséparable alors qu’il se relève inlassablement après chaque blessure infligée par les cornes acérées d’un adversaire redoutable… Ainsi va la vie d’un matador !Malgré cela, c'est lorsqu'il remporte le titre prestigieux "Matador del Año" en 1926 qu'il atteint vraiment son apogée professionnelle; cet honneur lui ouvre plusieurs portes vers une reconnaissance internationale! Néanmoins peu avant cela une rencontre imprévue va bouleverser non seulement sa carrière mais également toute sa vie…Un jour fatidique où tout bascule... En plein spectacle lors d’une corrida particulièrement intense , il fait face aux cris frénétiques du public tandis qu'un taureau féroce charge droit sur lui sans relâche un moment suspendu hors du temps! Le choc est violent ; blessé gravement au cours du combat mais miraculeusement indemne grâce à ses réflexes aiguisés; Saleri II réussit cependant admirablement bien! Ce jour-là marque non seulement une victoire décisive contre l’animal sauvage mais aussi contre ses propres démons internes!Mais comment expliquer cette force incroyable ? Les psychanalystes pourraient suggérer que cet affrontement physique intense cache peut-être quelque chose de plus profond – comme si saluer courageusement cette mort imminente pouvait être perçu comme cathartique? Qui sait... Au fond cela reste toujours impénétrable!Les années continuent leur cours inexorable… Tout semble sourire au talentueux matador jusqu’à ce qu'une série tragique d'événements ne vienne assombrir son ciel déjà chargé ! En effet après avoir dominé pendant près deux décennies; paraît-il que durant un ultime combat organisé exceptionnellement contre un autre grand nom il subit accidentellement une nouvelle grave blessure causant même certains désastres collatéraux parmi ceux présents…Cela doit sans doute sembler irréel – mais c’est là encore ironique quand on y pense: ceux qui venaient admirer leurs héros sont maintenant confrontés eux aussi aux conséquences désastreuses liées aux arts martiaux sanguinaires… Ce fut sans aucun doute très difficile tant physiquement moralement puis mentalement.Peu avant la retraite officielle déclarée autour milieu années 30 ,Saleri II s’est alors reconverti vers davantage exposition médiatique afin sensibiliser jeunes générations potentielles aspirants futurs aficionados passionnés taurins évoquant avec brio complexité relation humaine-taureau etc .Et tous ces débats autour tradition culturelle ibérique foisonnant encore aujourd'hui...Aujourd’hui encore l’héritage laissé derrière lui continue fasciner amateurs culturels parfois controversées représentant passionnant miroir société moderne obsédée performances sportives extrêmes … Il n’y a rien de surprenant si plusieurs documentaires récemment réalisés portent précisément sur figures historiques légendaires telles Salieri ainsi revenant ainsi régulièrement arrière-plan mémoire collective populisme socioculturelle toujours omniprésente !Par ailleurs surprise ironie: nombre jeunes adolescents contemporains montrent tendanciellement penchant nostalgique concernant traditions passées oubliées illustrant subtil lien entre passé présent permettant renforcer sentiment appartenance culturelle commune générationnelle .Enfin on pourrait conclure facilement ici simplement …non?! “Comment pourrait-on résumer toute cette intensité humaine vécue?” Loin s’en faut surtout lorsqu'on observe magnifique destin façonné courage persévérance passion transcendant limite simple spectacle brut tout étant finalement lié émotionnelle vie quotidienne contemporaine actuelle!”
Les Débuts de Saleri II
Originaire d'Espagne, Julián Sainz Martínez a fait ses débuts dans les arènes dès l’adolescence. En l'absence de nombreux documents à ce sujet, il est admis qu'il a appris les rudiments de la tauromachie grâce aux vétérans de son village. Sa première grande performance a eu lieu dans une petite plaza où il a capturé l'attention du public par son audace et sa maîtrise du taureau.
La Carrière de Matador
Saleri II a commencé à se produire dans des arènes de plus en plus grandes à mesure qu’il gagnait en notoriété. Au fil des ans, il a affronté des taureaux de toutes tailles et de toutes forces, adaptant son style en fonction de ses adversaires. Son charisme et sa détermination lui ont permis de se démarquer comme l'un des matadors les plus respectés de son époque. Entre les années 1910 et 1930, il a participé à des milliers de corridas, devenant une figure emblématique de la tauromachie espagnole.
Un Style Unique
L'un des aspects notables de la carrière de Saleri II était son style distinctif dans l'arène. Il était connu pour sa grâce et son élégance, combinant la tradition de la tauromachie avec des innovations techniques. Des mouvements fluides et une bravoure indéniable faisaient partie de son répertoire, captivant le public à chaque performance.
La Fin de sa Carrière et son Héritage
Après plusieurs décennies de combats épiques, Julián Sainz Martínez a décidé de prendre sa retraite des arènes. Il a quitté la scène en 1940, laissant derrière lui un héritage impressionnant et un nombre élevé de fans dévoués. Même après sa retraite, il a continué à être impliqué dans le monde de la tauromachie en tant que mentor et entraîneur pour les jeunes matadors, partageant ses connaissances et sa passion pour ce traditionnel art espagnol.