2011 : Itamar Franco, homme d’État brésilien, président du Brésil de 1992 à 1994 (° 28 juin 1930).

Né dans une petite ville du Minas Gerais, Itamar Franco a vu le jour un jour d'été, le 28 juin 1930. Dès son enfance, il était entouré par les murmures des ambitions politiques. L'ombre de la dictature pesait sur le Brésil, mais cela ne l’a pas empêché de rêver d'un pays meilleur. Il n'était pas seulement un jeune homme ordinaire ; il avait une curiosité insatiable et un esprit critique qui lui permettraient plus tard de naviguer les tumultes de la politique brésilienne.Sa carrière a véritablement pris son envol lorsqu'il a été élu député en 1957.

Ce fut un tournant crucial : il était désormais plongé dans les arcanes du pouvoir. Cependant, malgré sa détermination et son charisme indéniable, Franco s'est heurté à des obstacles inattendus. Ironiquement, alors qu'il tentait de bâtir sa réputation en tant que réformateur progressiste, des événements survenus au sein même du gouvernement ont conduit à une instabilité politique croissante.En 1992, alors que le climat politique brésilien était en ébullition entre corruption et démissions Itamar Franco est devenu président par accident : successeur de Fernando Collor de Mello après son impeachment pour corruption ! Cela ne devait pas être un mandat facile ; il a dû gérer les décombres laissés par son prédécesseur tout en essayant désespérément d'apaiser la colère publique.Franco n'a pas perdu de temps pour s'atteler à cette tâche colossale. Il a proposé une série d'importantes réformes économiques connues sous le nom de Plan Real.

Cette initiative visait à stabiliser l'économie brésilienne qui tanguait entre inflation galopante et crise monétaire persistante. Peut-être que l'une des plus grandes forces de Franco résidait dans sa capacité à unir différents segments politiques autour d'un projet commun bien que certains disent qu'il ne faisait qu'arranger les choses pour survivre politiquement !Cependant, tous ses efforts ont rencontré des critiques acerbes… Les opposants disaient souvent qu'il manquait d'ambition et que ses changements étaient trop superficiels pour avoir un impact durable sur la pauvreté rampant dans tout le pays ! Malgré cela, ses partisans voyaient en lui un homme pragmatique capable d'évoluer au milieu du chaos ambiant.Sa présidence a été marquée par une approche parfois hésitante mais résolue face aux crises successives qui se sont abattues sur le pays durant cette période tumultueuse. La montée des inégalités socio-économiques restait omniprésente ; ainsi beaucoup se demandaient si ces réformes seraient suffisantes pour transformer véritablement la société brésilienne... En effet ! Qui sait combien cela aurait changé si Itamar Franco avait disposé d’un soutien populaire plus solide ?Lorsque ses mandats ont pris fin en 1994 après deux années tumultueuses au sommet du pouvoir exécutif avec ses succès mitigés et luttes acharnées l'homme se retire progressivement sous les feux de la rampe jusqu'à disparaitre lentement mais sûrement du paysage politique national ! Mais ce n’était pas là sa fin… Non ! Au contraire : il continuera à jouer un rôle actif même bien après sa présidence.Il fait preuve d’un engagement constant envers divers projets sociaux jusqu’à être nommé ambassadeur auprès du Japon quelques années plus tard...

Mais finalement c’est l’ombre qui plane au-dessus du Brésil aujourd’hui qui rappellera encore davantage cet homme dont la vie semblait être hantée par les contradictions mêmes qu’il tentait désespérément d’apaiser !Itamar Franco est décédé le 2 juillet 2021... Sa mort représente non seulement celle d’un homme mais aussi celle d’une époque où chaque décision prenait place contre vents et marées; peut-être même une époque révolue où chaque mot prononcé pouvait changer radicalement leur monde… Aujourd'hui encore ! Dans ce contexte où tant espèrent voir émerger une nouvelle génération capable de reconstruire notre société avec force et détermination!Pour ceux qui réfléchissent aux conséquences parfois insoupçonnées des actes politiques passés beaucoup voient leurs propres luttes contemporaines comme étant inspirées ou entravées directement par cette héritage laissé derrière eux – parmi lequel celui indubitablement façonné également par Itamar Franco.