1871 : Gueorgui Jacobson, entomologiste russe († 23 novembre 1926).

C'est peut-être là qu'il a compris que chaque petite créature avait une histoire unique à raconter.À mesure qu'il grandissait, il s'est plongé dans ses études et a rapidement acquis une réputation parmi ses pairs pour son approche méthodique et rigoureuse. Ironiquement, alors que d'autres jeunes hommes rêvaient de gloire militaire ou de succès commercial, Jacobson se concentrait sur un univers microscopique que peu comprenaient véritablement. En 1895, il obtient son diplôme en sciences naturelles à l'Université impériale de Varsovie ce moment charnière lui ouvre les portes d'un avenir brillant.Dès lors, Gueorgui ne se contente pas d'observer ; il analyse et documente avec une minutie sans précédent. Sa première publication scientifique apparaît peu après l'obtention de son diplôme un article sur les coléoptères locaux.

Pourtant, cette première œuvre n'est que le prélude à un voyage intellectuel qui le mènera vers des contrées inexplorées du savoir entomologique.Ses voyages lui permettent également d’étendre ses horizons scientifiques : des excursions en Sibérie aux forêts tropicales de Java. Chaque escale enrichit ses connaissances et renforce sa détermination à cataloguer chaque espèce rencontrée mais cela ne vient pas sans défis ! Les conditions climatiques difficiles ainsi que l’isolement géographique peuvent parfois mettre à rude épreuve même les esprits les plus brillants... Mais Jacobson persévère.En 1900, il publie "Les insectes du nord-est sibérien", marquant ainsi son entrée dans le cercle restreint des entomologistes renommés de son temps. À travers cet ouvrage fondamental qu'il écrit comme si chaque page était une lettre d'amour aux petites bêtes volantes et rampantes Jacobson fait découvrir au monde entier la biodiversité méconnue du continent asiatique.

Les historiens racontent que cet ouvrage aurait influencé plusieurs générations d'entomologistes avides du savoir caché sous leurs pieds !Cependant… malgré ces succès fulgurants sur papier, Gueorgui n'échappe pas aux ombres pesantes d'une époque troublée par la guerre mondiale imminente et par la Révolution russe qui secoue alors son pays natal en 1917. Bien que profondément ancré dans ses recherches scientifiques, ces bouleversements politiques remettent en question tout ce qu’il connaît : "Que vont devenir mes précieux échantillons?" pourrait-il se demander alors qu’un vent chargé d’incertitudes soufflait sur Saint-Pétersbourg…Malgré cela... ou peut-être grâce à cela ?, Gueorgui Jacobson trouve refuge dans l'idée même de transmettre sa passion pour les insectes aux générations futures! C’est ici qu’il commence alors sa carrière académique; enseignant avec ferveur tout ce qu’il sait au sein du célèbre Musée zoologique de Saint-Pétersbourg où il partageait non seulement ses connaissances mais aussi cette flamme ardente née lors de ses années exploratoires…C’est également durant cette période cruciale qu'il devient membre actif au sein diverses sociétés scientifiques internationales ! À partir du début des années 1920 – période marquée par la création successives organisations scientifiques – il représente fièrement non seulement son pays mais également toutes ces petites créatures qui peinent parfois à être vues… Une étape charnière sans aucun doute!Tout en continuant ses recherches approfondies autour des mouches « sarcophages » , Gueorgui élargit encore davantage ses travaux vers divers autres groupes taxonomiques! Qui sait combien encore nous aurait appris si ces temps avaient été plus cléments?Alors qu’il approche lentement mais sûrement vers sa fin – il meurt paisiblement un jour brumeux du 23 novembre 1926 – laisse derrière lui non seulement une bibliographie impressionnante mais surtout un héritage précieux : celui ayant dédié toute sa vie envers cette quête inlassable afin mieux comprendre notre environnement naturel! Aujourd'hui encore... alors que nous vivons dans une époque toujours plus industrialisée où notre rapport avec nature semble se réduire comme peau chagrin; on retrouve certaines notions exprimées par Gueorgui résonnant puissamment face enjeux contemporains tels changement climatique ou préservation biodiversité… Ses découvertes rappellent peut-être subtilement chaque fois pourquoi ‘écosystème’ est bien plus complexe tentaculaire interaction entre toutes formes vies!En somme… peut-on vraiment imaginer future coexistence harmonieuse entre humanité nature? Si oui… Que dirait Gueorgui maintenant ? Peut-être serait-il émerveillé par toutes avancées technologiques permettant mieux visualiser microcosmos au sein lequel nous habitons ou plutôt inquiet face ignorance persistante nombre citoyens quant réalité fragile intégralité planète? Toujours est-il … c’est assurément là où résident véritables défis demain !