1860 : Georg Achen, peintre danois († 6 janvier 1912).

Ses premières œuvres étaient des esquisses d’animaux et de paysages environnants peut-être une tentative inconsciente de capturer la beauté éphémère du monde qui l'entourait. Ironiquement, alors que ses parents souhaitaient qu'il embrasse une carrière stable dans le commerce familial, il se sentait inextricablement attiré par les palettes et les toiles qui peuplaient son imaginaire.Cependant, à peine âgé de dix-huit ans, Georg décida de braver la volonté parentale en s'inscrivant à l'Académie royale des beaux-arts de Copenhague. Malgré l'opposition familiale qui s'intensifiait avec chaque coup de pinceau qu'il posait sur la toile blanche, sa détermination ne fléchit pas. Qui sait combien d'artistes ont abandonné leurs rêves sous la pression des attentes familiales ? Pour lui, cet acte était non seulement une rébellion mais aussi une quête d'identité.C'est au sein des murs austères de cette académie qu'il fit des rencontres décisives : celles avec ses contemporains danois et européens qui partageaient sa passion pour la peinture réaliste.

À cette époque où le romantisme dominait encore largement les arts visuels en Europe entre paysages idéalisés et portraits flamboyants Achen forgea son propre style : celui d’un naturalisme empreint d’une sensibilité unique.Malgré cela ou peut-être grâce à cela sa carrière artistique commença lentement mais sûrement à prendre forme après plusieurs années d’études rigoureuses. En 1880, il prit part au Salon national danois avec plusieurs œuvres remarquées par la critique. Les historiens racontent que c'est cette exposition qui a permis à son talent brut d’éclore aux yeux du public ; néanmoins cela marquait également le début d'une période tumultueuse durant laquelle il serait confronté aux défis inhérents à toute carrière artistique.Alors que ses tableaux reflétaient souvent des scènes quotidiennes et intimes empruntées à sa vie personnelle ou celle des gens ordinaires autour de lui « La lecture » et « Les enfants jouant » sont parmi ses œuvres emblématiques Achen s’attaquait aussi aux thèmes plus sombres tels que la solitude et le désespoir humain... Paradoxalement néanmoins; ces représentations parfois tragiques révélèrent davantage son humanité profonde plutôt qu’un simple désir esthétique.Il est fascinant d’observer comment sa vision artistique évolua au fil du temps ! Peut-être ce développement fut-il catalysé par ses nombreux voyages en France où il entra en contact avec des artistes impressionnistes comme Monet ou Pissarro… Ces échanges nourrirent sans doute son approche picturale : l'interaction entre lumière naturelle et atmosphère devenait essentielle dans son travail.Mais comme beaucoup avant lui – pensez seulement aux géants tels que Van Gogh ou Munch – Achen éprouva aussi ses propres démons intérieurs...

Malgré ses succès croissants sur la scène artistique danoise et internationale durant les années 1890 jusqu'au début du XXe siècle - lorsque notamment deux tableaux furent exposés au prestigieux Salon officiel français - quelque chose semblait peser lourdement sur son âme créative... Peut-être était-ce cette lutte incessante pour maintenir sa vision face aux critiques acerbes !En effet ! Les critiques envers son art étaient parfois dévastatrices… On lui reprochait tantôt trop peu audace tantôt manque total de finesse ! Il est donc intéressant alors que malgré ces tempêtes émotionnelles - quelques années plus tard – c’est finalement dans ces obscurités qu’il trouva un nouvel élan ; surtout lors qu’il décida alors courageusement participer comme membre actif au cercle artistique avant-gardiste ‘Den Frie Udstilling’ fondée en 1891…Cette décision audacieuse marqua indubitablement un tournant significatif dans sa trajectoire professionnelle! Il chercha ainsi constamment à renouveler sans trêve son propos visuel tout autant que revendiquer véritablement artistiquement une liberté sans compromis… De fait , grâce notamment à ces engagements collectifs,pourtant si éloignés initialement , il réussit enfin puiser largement inspiration face défis contemporains!En parallèle; on pourrait également se demander si certaines oeuvres posthumes témoigneraient non seulement aspect formel mais également profondeur existentielle? Lorsque Georg Achen rencontra soudainement fin tragique lors soirée glaciale ce fameux janvier 1912 , laissant derrière lui héritage pictural riche complexe dont nul ne saurait contester importance intemporelle !Peut-être ironiquement parlons-nous aujourd'hui encore diverses expositions rendant hommage légende douloureuse créativité humaine incarnée par cet artiste extraordinaire... En parcourant galeries modernes dédiées entièrement œuvre talentueux chacun y ressent même résonance spirituelle vibrante époussetée nostalgie poignante nos âmes perdues naviguant turbulentes vagues sentiments perdus…Ainsi donc reste-t-il aujourd’hui encore symbole vivant lutte intense contre adversités artistiques tout autant mondiales? Peut-on vraiment envisager univers tellement différent sans contributions poétiques révélatrices imprégnées profondes réflexions abordant questionnements éternels existence humaine ?Georg Achen n’est pas simplement peintre danois né voici maintenant près deux siècles: il demeure figure emblématique continuelle quête sens éprouvante naviguant entre ombre lumière…