1927 : Gavira (Enrique Cano Iribarne dit), matador espagnol (° 9 janvier 1893).

Enrique Cano Iribarne, connu sous le nom de Gavira, est entré dans le monde à une époque où la tauromachie était plus qu'un simple sport ; c'était un véritable art. Né un matin ensoleillé du 9 janvier 1893 dans une petite ville d'Espagne, son premier cri a résonné comme un présage de l'extraordinaire destinée qui l'attendait. Alors que les cloches de l'église annonçaient la nouvelle de sa naissance, peu savaient que cet enfant deviendrait bientôt une figure emblématique des arènes espagnoles. À mesure qu'il grandissait, Gavira était fasciné par les récits des matadors légendaires. Les histoires d'héroïsme et de bravoure qui émergeaient des arènes lui donnaient envie d'entrer dans cette danse dangereuse avec le taureau une danse qui mêlait grâce et mortalité. Cependant, il n'était pas seulement attiré par la gloire ; il cherchait aussi à s'affranchir des normes rigides d'une société où l'honneur et le courage étaient souvent mesurés sur le champ de bataille ou dans l'arène. Ironiquement, ce n'est pas à travers la noblesse ou la richesse que Gavira a trouvé son chemin vers les corridas. En effet, bien qu'il soit né dans une famille modeste, il a cultivé un talent indéniable pour la tauromachie dès son plus jeune âge. Peut-être que sa passion pour cet art ancestral lui est venue en regardant son père chasser ou en admirant les mouvements gracieux des toreros lors des festivals locaux. Sa première rencontre avec un taureau n'a pas eu lieu lors d'un événement prestigieux mais plutôt durant une fête villageoise où il a osé affronter un jeune bovin pour impressionner ses amis. Ce moment pourrait être considéré comme insignifiant par certains, mais pour Gavira c'était tout sauf cela ! Il se tenait là devant l'animal puissant, son cœur battant au rythme du danger imminent. Malgré ses jambes tremblantes et l’adrénaline coulant dans ses veines comme un poison délicieux, il a fait face à cet énorme défi avec audace. Alors qu’il poursuivait sa passion ardente pour les corridas au fil des années suivantes formant ses compétences auprès de mentors aguerris il s’est produit lors de petites festivités locales avant d’atteindre les grandes arènes espagnoles. Ses débuts officiels ont eu lieu en 1914 alors qu’il n’avait même pas atteint sa vingtième année ! Cela pourrait sembler prématuré aux yeux de beaucoup mais cette décision marquait le début d'une carrière fulgurante ! Malgré cela, le monde impitoyable des corridas ne lui faisait aucun cadeau. En effet ! Les premières critiques ont été acerbes et implacables; chaque faux mouvement pouvait mettre fin à sa carrière naissante. Toutefois! Plutôt que de se laisser abattre par ces jugements sévères – Gavira s’est concentré sur son art ! Son style unique mêlant élégance et puissance captivait déjà les foules… Il avait ce don rare : transformer chaque corrida en spectacle éblouissant ! Tout au long des années 1920 une décennie marquée par tant d'espoir pour certains et tant de désillusionnement pour d'autres Gavira est devenu progressivement une étoile montante du monde taurins! De Madrid à Séville… Chaque ville accueillait avec ferveur ce matador charismatique dont le nom évoquait déjà admiration chez tous ceux qui assistaient aux spectacles palpitants ! Mais voilà! Le succès attire toujours autant qu’il rebute... Les jalousies commencent à poindre ici et là parmi ses pairs! Certains murmuraient même derrière lui… Peut-être pensaient-ils qu’un tel talent ne pouvait rester inaperçu sans conséquences?! Et pourtant! La personnalité magnétique faisait également tourner certaines têtes… On raconte même plusieurs anecdotes illustratives autour du personnage extravagant : soirées passées jusqu’au petit matin … disputes éclatantes avant chaque corrida … Mais malgré tout cela sa détermination restait intacte; celle-ci brillait encore plus intensément lorsqu'il entrait sur la piste! Cependant l’histoire tragique lui a réservé quelques revers inattendus! Après plusieurs saisons triomphales sur scène – tout bascule rapidement : Un jour fatidique … alors qu’il exécutait avec brio une série fascinante mouvements délicats face à un taureau particulièrement coriace... Un coup imprévu emporta toute assurance ! Une blessure grave frappée directement au flanc – signa ainsi l’arrêt brutal non seulement sur cette performance mais potentiellement aussi sur toute carrière future! Peut-être aurait-il pu éviter ce drame? Qui sait ? Néanmoins!, après cette expérience éprouvante , notre matador avait quelque chose qui brûlait encore puissamment en lui... Cette flamme résiliente continuera peut-être jusqu’à alimenter quelque nouveau projet?! L’épreuve physique n’a cependant rien ôté à son charisme ni même celui du respect accordé par ses pairs malgré toutes ces adversités rencontrées! Au contraire : elle semblait galvaniser davantage leur soutien autour de lui… Puis vint cette année décisive -1927- moment singulier où tout bascula littéralement - entre ombre lumière - car ici commence vraiment notre histoire: GAVIRA entre véritablement dans LEGENDES DES ARÈNES ESPAGNOLES! Ironiquement... Au sommet de sa gloire? Ce fut alors juste après avoir gagné plusieurs prix prestigieux laissant entendre encore loin derrière chacun rival éreintés par tant performances exceptionnelles offertes ici-bas… Quittant brutalement existence terrestre après avoir vaincu adversaire redoutable tueur parfois exigent envers tous toreros... Aujourd'hui encore on entend parler régulièrement du nom «Gavira» non seulement dans livres historiques révélateurs concernant tauromachie mais également lors divers événements taurins continuellement célébrés maintes fois partout Espagne entière!... Ses exploits sont gravés éternellement mémoire collective rendant hommage ce héros disparu trop tôt simplement... Finalement lorsque nous observons toutes ces tendances actuelles glanées récemment depuis réseaux sociaux faisant remonter esprit courageux torchons pleurant injustices ou louant héritages vestiges anciens attachants ... Nous nous souvenons davantage figures telles celles comme GAVIRA ayant apporté autres valeurs humaines fascinantes défiances néanmoins inoubliables ...