François-Xavier Ortoli, haut-fonctionnaire, homme d’affaires et homme politique français (° 16 février 1925).

François-Xavier Ortoli est arrivé dans un monde tumultueux, un 16 février 1925. Dans la France d'après-guerre, chaque naissance était teintée d'espoir et de désespoir, et Ortoli n'échappait pas à cette dualité. Peut-être que sa plus grande chance fut celle d'être élevé dans une famille qui valorisait l'éducation et l'engagement civique des valeurs qui allaient le mener sur les chemins sinueux de la politique française.La jeunesse d'Ortoli s’est déroulée à travers des années marquées par la reconstruction et le progrès. Ses études à Paris lui ont ouvert les portes de l'administration publique, mais il est ironique de constater qu'il ne se contentera pas de rester un bureaucrate anonyme. Au début des années 50, alors qu’il entame sa carrière dans l’administration française, il découvre rapidement que son sens aigu des affaires pourrait bien être son meilleur atout pour gravir les échelons du pouvoir.Cependant, ses ambitions ne se limitaient pas aux bureaux austères du gouvernement. À peine sorti de ses études en droit et en sciences économiques, Ortoli ressent une impérieuse envie d'agir sur le terrain économique. En effet, après avoir été nommé directeur adjoint au Commissariat général au Plan en 1955 ce poste prestigieux lui a permis non seulement d’entrer dans les arcanes du pouvoir décisionnel français mais également de développer une vision pragmatique sur les enjeux économiques du pays.Malgré cela, on pourrait penser qu'un homme aussi impliqué aurait dû se concentrer uniquement sur ses fonctions publiques. Pourtant... Ortoli a aussi choisi d'embrasser le monde des affaires ! Dans cette aventure audacieuse qui s'étendait jusqu'aux décennies suivantes, il a gravi avec brio plusieurs échelons au sein du secteur privé tout en continuant à jouer un rôle clé dans la sphère politique.Il est difficile de cerner exactement quand cet homme aux multiples casquettes a pris conscience que son destin était intrinsèquement lié à celui de l'Europe naissante. Peut-être fut-ce lors des discussions autour du traité de Rome en 1957 ? Qui sait... Toujours est-il que cet événement historique allait propulser Ortoli vers des responsabilités encore plus élevées sur la scène européenne.Les rumeurs courent qu’il aurait toujours eu un faible pour Bruxelles… Et c'est ainsi qu'il devient membre influent des institutions européennes ! Au moment où il siège au sein du Conseil européen comme ministre délégué auprès du Premier ministre Georges Pompidou puis comme commissaire européen chargé des Affaires économiques c'est alors qu'Ortoli affronte plusieurs crises majeures liées aux questions monétaires et commerciales qui secouent l’Europe durant ces années-là.Avec une détermination inébranlable et un charisme indéniable ce dernier étant sans doute nourri par ses expériences riches tant publiques que privées François-Xavier Ortoli se fait rapidement remarquer pour son approche novatrice : tout semblait possible sous sa gouvernance… Mais cette période n'était pas exempte d'embûches ! Le monde économique vacillait sous la pression inflationniste ; cependant, loin d’être découragé par ces défis redoutables...Il y avait quelque chose chez lui qui fascinait autant qu'il effrayait : peut-être était-ce ce mélange étrange entre visionnaire idéaliste et réaliste pragmatique ? Lorsqu'il déclara avec assurance que "la croissance doit être partagée", beaucoup pensèrent immédiatement aux conséquences sociales majeures que cela impliquait... Cependant malgré les scepticismes ambiants entourant cette phrase prononcée en pleine tourmente économique il réussit à faire entendre raison !Ironiquement donc… Sa gestion dynamique contribua finalement à renforcer l’intégration européenne tout en favorisant une croissance durable pour tous ! Les Européens lui furent reconnaissants lorsqu'ils réalisèrent combien ses efforts avaient façonné leurs économies respectives : grâce à sa vision avant-gardiste combien ont pu profiter enfin d’un cadre régulatoire stable ?Néanmoins... Tous ces succès auraient pu ne jamais voir le jour si François-Xavier Ortoli n'avait pas su allier savoir-faire technique et humanisme profond! Cet homme savait faire appel aux émotions humaines; il abordait chaque sujet avec compassion mais aussi ambition; peut-être parce qu’au fond derrière cette apparente maîtrise technique se cachait également une sensibilité poignante liée aux drames humains contemporains…Son engagement envers les principes européens perdura bien après sa retraite politique; car même hors service officiel – là où on s’attendrait généralement à laisser derrière soi toute forme d’activisme – il continua sans relâche sa mission éducative via différents organismes ou associations dédiés au développement durable! Ainsi... Comment expliquer cet investissement ? Est-ce là véritablement le reflet intime de cet ardent amour pour l’Europe ou plutôt une quête perpétuelle visant constamment mieux comprendre autrui ?La fin naturelle vient frapper nos portes alors qu'Ortoli traverse paisiblement encore quelques décennies ; cependant rien ne semble prédisposer quelqu’un ayant connu tant succès personnels comme professionnels vers quelque chose pouvant ressembler même vaguement près de leur fin.... Pourtant tel fut bel et bien leur sort final lorsque celui-ci s’éteignit subitement le 17 décembre 2021...Aujourd'hui encore reste présent son héritage immense! Il nous appartient désormais face toutes nouvelles crises géopolitiques actuelles dont sont témoins peuples européens actuels surtout jeunes générations de regarder attentivement ce modèle unique proposé autrefois par François-Xavier Ortiz ; car si « chacun apporte ceci » puis « chacun donne cela », alors peut-être serons-nous capable ensemble cheminer vers demain lumineux réinventé!Et voilà où réside sans doute toute ironiquement dure réalité sociétale actuelle : nous avons besoin leaders éclairés comme lui capable rassembler divers intérêts autour grand projet commun car si visionnaires tels Frances Xavier ortol manque alors quel avenir attendra notre belle Europe colorée pourtant riche culture diversifiée?