1975 : François Tombalbaye, premier président du Tchad (° 15 juin 1913).

Dans les années 1930, alors qu'il est encore adolescent, il s'illustre en tant qu'élève prometteur dans l'école française locale. Cette période marque le début de son éveil politique : il découvre peu à peu les inégalités qui gangrènent son pays sous le joug colonial français. Qui sait si ce sentiment d'injustice ne l'a pas poussé à s'engager pour un avenir meilleur ? Cependant, sa carrière ne commence pas tout de suite sur une note triomphale. En 1946, après avoir terminé ses études en France métropolitaine et obtenu un diplôme d’instituteur – une profession respectée mais peu révolutionnaire – François retourne au Tchad avec des rêves plein la tête mais des défis colossaux devant lui.

Il rejoint bientôt le mouvement politique émergent : l’Union Démocratique du Tchad (UDT). Ironiquement, c’est alors que commence une lutte acharnée contre des adversaires politiques aux ambitions tout aussi grandes.Les historiens racontent que ses discours enflammés attiraient toujours plus de partisans pourtant sa montée fulgurante vers le pouvoir ne sera pas sans obstacles ni trahisons ! En 1958, après des années de tensions croissantes entre nationalistes africains et autorités coloniales françaises, François devient membre du premier gouvernement autonome du Tchad sous l’administration française. Ce moment est crucial ; il réalise enfin son rêve : devenir acteur majeur sur la scène politique nationale.Peu après cette étape significative, Tombalbaye prend les rênes en tant que président à partir de 1960 lorsque le pays accède enfin à l’indépendance ! Son accession au pouvoir était teintée d’un mélange d’espoir et de peur espoir pour un nouveau départ mais crainte face aux défis multiples qui attendent ce jeune État fragile.Cependant… cette transition vers la présidence ne serait pas exempte de contestation ni de critiques acerbes ! Les tensions ethniques s'exacerbent ; lui-même étant originaire du sud va faire face à des accusations d'autoritarisme vis-à-vis des groupes opposants venant principalement du nord – ce qui mène progressivement à une escalade violente entre différentes factions politiques. Peut-être qu'il n'avait jamais imaginé que sa quête ardente pour bâtir un État moderne pourrait engendrer tant de souffrances parmi ses concitoyens…Durant ces années turbulentes des années soixante-dix où se mêlent rébellions armées et résistance politique pacifique – sa figure devient symbolique autant qu’iconique au sein même du peuple tchadien ! Ironiquement donc… bien que sa popularité initiale ait été florissante grâce aux promesses faites lors des campagnes électorales successives la déception croissante face aux méthodes autoritaires utilisées nuit gravement à son image publique !En effet… chaque mesure prise pour renforcer son emprise sur le pouvoir conduit également vers plus d’opposition ; ainsi naît alors ce cercle vicieux où oppression rime avec instabilité sociale et cela précipite encore davantage tout un pays déjà fragilisé par des crises économiques chroniques exacerbées par les sécheresses répétées...Tout ceci a eu lieu pendant que Tombalbaye vivait continuellement sous pression : cet homme habitué aux foules admiratives voit maintenant surgir parmi elles ceux-là mêmes dont il avait espéré qu’ils seraient devenus fidèles alliés des gens qui crient désormais "liberté !" ou "démocratie !" Des mots puissants deviennent désormais leurs slogans sur chaque placard brandi dans les manifestations quotidiennes qui secouent N'Djamena…Loin derrière lui se dessine déjà le spectre sombre d’un coup d’État imminent; cela semble inéluctable...

Mais peut-être pensait-il échapper adroitement au piège tendu par ceux-là mêmes qu’il considérait comme loyaux jusqu’à présent ? Le tournant tragique arrive finalement en avril 1975 lorsque certains membres mécontents parmi ses propres officiers militaires décident définitivement qu’il faut mettre fin brutalement à ce régime oppressif !Ce jour fatidique… celui où François Tombalbaye sera abattu froidement dans son propre bureau; on raconte même qu’il aurait tenté désespérément d’échapper tandis que toutes ces voix dissonantes accompagnaient chacun de ses derniers instants terrestres ; ces cris résonnent comme autant d’accusations lancées contre un homme devenu prisonnier non seulement of his own ambition but also of the history he tried to shape!Dans ces moments sombres… on peut facilement imaginer la douleur intense mêlée confusion ressentie autour du palais présidentiel tandis que certains anciens alliés pleurent leur leader perdu tandis que nombre autres célèbrent secrètement cette chute soudaine ! Que sont devenus ces rêves ? Ces idéaux portés autrefois si haut ? Sans doute brisés…Aujourd’hui encore... L'héritage controversé laissé par François demeure palpable au sein même du tissu social tchadien; ceux qui prennent conscience peuvent noter comment certaines luttes sociopolitiques contemporaines trouvent leurs racines profondes dans cet épisode tragique révélateur! Pour certains citoyens cependant... Son nom évoque plutôt colère frustration plutôt que respect !Qui sait combien longtemps encore ils porteront ce fardeau héritier: celui-là même tracé par cet homme dont toute vie fut dédiée corps âme vers créer quelque chose dont beaucoup rêvaient déjà avant lui? Car voilà.. Au-delà tous ces débats interminables autour éthique politique aujourd'hui , Nous observons simultanément émerger chaque jour davantage nouvelles générations cherchant solutions alternatives face crises résiduelles laissées derrière elles depuis lors...Ironiquement donc...

C'est là où réside aussi toute beauté existentielle humaine cette capacité indomptable passer outre chaos afin construire avenir différent! Entre ombres histoires passées balisées souffrance perdue espoirs déchus … Qui sait si véritable renaissance pourrait jaillir demain?