1688 : François Richer d'Aube, jurisconsulte français (° 12 octobre 1752).

En ce début d’automne 1688, alors que les feuilles des arbres commençaient à se teinter de couleurs chaudes, un destin extraordinaire s’esquissait dans la ville de Paris. François Richer d’Aube ne le savait pas encore, mais sa naissance marquerait le début d’une saga intellectuelle qui allait influencer la jurisprudence française. Il est vrai que l’année avait déjà vu son lot d’événements tumultueux la Révolution glorieuse en Angleterre mais pour les habitants des ruelles parisiennes, la vie continuait comme un fleuve tranquille. Et c'est ainsi qu’un petit garçon vit le jour dans une famille dont les aspirations allaient bien au-delà des conventions. Ce jeune enfant grandit dans un environnement imprégné de culture et de savoir. Son père, un modeste artisan, avait compris l’importance de l’éducation et s'efforçait d'inculquer à ses enfants une soif insatiable de connaissances. La maison familiale était remplie de livres anciens aux reliures usées, témoignant des heures passées par ses aînés à en parcourir les pages jaunies. Cependant, François ne se contentait pas seulement des livres ; il écoutait aussi avidement les discussions animées entre son père et ses amis sur le droit et la justice. À mesure qu'il atteignait l’adolescence, son esprit vif attirait l’attention des érudits locaux qui voyaient en lui une étoile montante. Ironiquement, cette reconnaissance précoce aurait pu être une source de pression écrasante pour un jeune homme si impressionnable ; pourtant, François prenait cette attention comme une motivation supplémentaire pour approfondir ses études juridiques. Malgré cela, le chemin vers la notoriété n'était pas exempt d'obstacles. À 20 ans seulement, il fut confronté au décès prématuré de son père un événement tragique qui plongea sa famille dans le désespoir et entraîna une crise financière soudaine. Peut-être que cette perte tragique a contribué à forger son caractère déterminé ; il prit alors sur lui non seulement d’étudier avec ferveur mais aussi de subvenir aux besoins familiaux. Sa passion pour le droit s’épanouit véritablement lorsqu’il entra à l’université où il rencontra des professeurs influents qui éveillèrent en lui un sens critique aiguisé et un désir ardent de réforme sociale. Chaque cours était pour lui une occasion non seulement d’apprendre mais également d’affiner ses propres idées sur la justice idée qui serait centrale tout au long de sa carrière future. Peu après avoir obtenu son diplôme avec honneurs en 1710, Richer fit rapidement parler de lui dans les cercles juridiques parisiens grâce à sa capacité unique à articuler des concepts complexes avec clarté et éloquence. Ses premières publications attirèrent l’attention du célèbre Chancelier Michel Le Tellier ; ce dernier fut sans doute impressionné par cet esprit brillant émergeant du monde académique dont il avait suivi la carrière avec intérêt. Cependant tel un serpent insidieux rôdant sous la surface tranquille les querelles politiques faisaient rage dans toute l’Europe : luttes entre catholiques et protestants ; tensions croissantes entre monarchie absolue et aspirations républicaines... C’était un contexte compliqué où chaque position pouvait susciter soutien ou rejet instantanément ! Dans ce maelstrom politique naissant… Richer se retrouvait parfois tiraillé entre sa loyauté envers le roi Louis XV et ses idéaux progressistes qu’il défendait farouchement lors des débats juridiques houleux ! Avec détermination mêlée parfois à une pointe d’audace juvénile… Il choisit finalement plusieurs voies professionnelles : avocat plaidant devant divers tribunaux tout en enseignant parallèlement aux jeunes esprits avides comme lui autrefois... Cette double casquette renforça indéniablement sa réputation auprès du public ! Les gens venaient écouter cet orateur charismatique partager sa vision empreinte non seulement d’érudition mais aussi humaine... L’année 1735 marqua néanmoins turning point : son essai audacieux « Du contrat » bouscula tant les conventions établies que certains juges jugèrent préférable – plutôt ironique diront certains –de faire taire cette voix dissidente par tous moyens possibles... Pourtant ? Ce n’est jamais vraiment facile si on porte haut flag of dissent! Grâce au soutien inattendu qu'il reçut parmi quelques nobles bienveillants admirant tant leur bravoure intellectuelle qu’humaniste ! Peut-être même que ces tensions auraient pu briser n’importe quel homme moins résolu… Mais pas François ! Sa plume devint alors arme redoutable : “L’union fait la force” clamât-il hautement lors du processus judiciaire où hommes politiques tentaient délibérément étouffer dissidence sous joug injuste – malgré menaces claires contre liberté individuelle ... Quoiqu’il advienne… Une nouvelle dynamique prenait forme ! Progressivement – presque imperceptiblement aux yeux extérieurs ! - Les idées novatrices propagées par Richer trouvaient écho favorable auprès grand public jusqu’à se transformer lentement but sûrement révolutionnaire modèle juridique... En définitive: La hiérarchie sociale vacillât tandis que citoyens prenaient conscience pouvoir changer destin collectif leurs vies... Malgré toutes ces vicissitudes historiques troublantes traversant société , certaines convictions demeuraient inaltérées: L’importance primordiale législation juste garantissant droits fondamentaux individuels ! Riche figure emblématique littérature juridique française , Richer continua ardent défenseur valeurs humanistes jusqu'à fin existence terrestre ... Ironiquement cependant , on pourrait penser héritage laissé derrière serait suffisant assurer pérennité pensées visionnaires ... Mais voilà: lorsque disparu scène publique (1752) très peu étaient réellement conscients importance réelle contributions notions révolutionnaires développement judiciaire moderne français … Aujourd'hui encore pourtant? Plusieurs philosophes contemporains font référence travaux audacieux François Richer D'Aube évoquant importance combat mener contre iniquité systématique structures profondément ancrées société … Rendant hommage créateur jurisprudence moderne: « Justice doit primer sur autoritarisme » affirment-ils maints experts aujourd’hui! Qui sait combien peuvent souffrir ceux toujours marginalisés systèmes oppressifs lorsqu’ils sont privés voix propice exprimer revendications légitimes droits humains ? En relisant textes inspirés pensons donc et agissons!