Duncan White, athlète de haies cinghalais (° 1er mars 1918).

Né sous le soleil brûlant du Sri Lanka, le 1er mars 1918, Duncan White est devenu une figure emblématique de l'athlétisme cinghalais. À une époque où les barrières raciales et coloniales pesaient lourdement sur les épaules des athlètes locaux, il a franchi les obstacles non seulement sur la piste, mais aussi dans la vie. Ironiquement, alors que beaucoup de ses contemporains se débattaient pour obtenir une reconnaissance internationale, Duncan a réussi à s'imposer comme l'un des meilleurs coureurs de haies de son temps.Duncan a grandi dans un petit village à Colombo. Sa jeunesse n’était pas celle d’un athlète professionnel ; il n’avait pas accès aux infrastructures modernes ni aux entraîneurs qualifiés. Cependant, quelque chose en lui brûlait d’un désir indomptable : celui de dépasser les attentes et d’exceller. Peut-être que son inspiration venait des histoires entendues lors des réunions familiales autour du feu : celles des héros sportifs qui avaient défié toutes les probabilités pour atteindre la gloire.À l’adolescence, alors qu’il courait souvent pieds nus sur des terrains poussiéreux avec ses amis, sa passion pour l'athlétisme s'est affirmée. Mais ce n'était pas qu'une simple passion ; c'était une nécessité vitale. En effet, sa détermination à briser les chaînes qui retenaient son pays sous le joug colonial britannique s'est reflétée dans chacun de ses pas rapides et mesurés sur la piste.Le tournant majeur survient en 1938 lorsqu'il participe au Championnat d'Asie à Singapour. À cette occasion, malgré un manque flagrant d’expérience face à des rivaux aguerris et entraînés dans le cadre du système colonial britannique qui favorisait presque exclusivement leurs propres athlètes Duncan réussit un exploit remarquable : il remporte la médaille d’argent au 110 mètres haies ! Cet accomplissement ne doit pas être sous-estimé ; c’était bien plus qu’une simple victoire personnelle cela représentait également une fierté nationale.Cependant, cette glorieuse performance fut suivie par un cruel revers. La Seconde Guerre mondiale éclate peu après ce triomphe inattendu et plongera le monde entier dans le chaos. Malgré cela ou peut-être grâce à cela ironie du sort ? Duncan trouve un nouveau sens à sa carrière sportive en rejoignant l’armée britannique comme lieutenant durant cette période tumultueuse.En tant qu'officier militaire engagé sur plusieurs fronts asiatiques et européens pendant la guerre… Cette expérience lui forgea non seulement un esprit combatif mais aussi une résilience inébranlable face aux adversités imprévues qui allaient se présenter sur sa route sportive par la suite.À son retour au Sri Lanka après ces années difficiles marquées par le bruit assourdissant des batailles… quelque chose avait changé chez lui : plus déterminé que jamais ! En réalité, peut-être que ces épreuves lui ont insufflé un sentiment aigü de responsabilité envers son pays et ses concitoyens; il était désormais perçu comme un symbole vivant de courage et d’espoir pour toute une génération aspirant à la liberté.Ainsi commence alors sa préparation intense pour les Jeux Olympiques d'Helsinki en 1952... Un rêve nourri depuis longtemps par cet homme dont l’influence dépasse largement celle du sport! Au cours des mois précédents ce grand événement sportif international... il redouble d’efforts tout en cultivant ses relations avec d’autres sportifs locaux mais également internationaux qui partagent ses idéaux – élever leur nation par-delà toutes distinctions raciales ou coloniales!Malgré certaines blessures persistantes dues aux rigueurs militaires… rien ne pouvait freiner cet athlète acharné! Une fois là-bas... lors de ces JO tant attendus où tous les regards sont braqués sur lui… White atteindra finalement sa consécration ultime !Il ne faut cependant pas croire que tout se passa sans accrocs... Loin s’en faut ! Alors qu’il devait briller dans cette compétition mondiale devant tous ces spectateurs impatients… Il subit quelques faux départs très frustrants qui pourraient avoir affectés nerveusement n’importe quel autre concurrent mais lui resta impassible !Et quand enfin arrive ce moment décisif – celui où il doit franchir chaque haie – chacune représente non seulement un obstacle physique mais aussi symbolique : celui du passé colonial oppressant! En effet chaque saut effectué évoque non seulement un acte sportif pur mais renvoie aussi au chemin parcouru depuis son enfance jusqu’ici !Dans une finale spectaculaire remplie d’adrénaline palpable... Duncan White décroche finalement la médaille d’argent après avoir flirté avec le bronze puis même parfois menacé or... Ce résultat était fortuit car contrairement à certains prétendants favoris ayant échoué lamentablement ! Sa performance exceptionnellement solide éblouit autant que fût applaudie!Après cette gloire olympique fulgurante ... Pourtant malgré cet exploit mémorable dont beaucoup auraient espéré tirer profit …il choisira paradoxalement – contre toutes attentes populaires -de quitter définitivement la scène compétitive internationale! Qui sait pourquoi? Peut-être souhaitait-il mettre fin à cette phase aventureuse sans vivre moins heureux ? Parfois on désire tellement rentrer chez soi…Et ainsi commence sa retraite : bien loin des projecteurs aveuglants! Il retourne alors vers son pays natal où surgissent encore nombreuses questions quant aux raisons cachées derrière ce choix audacieux...Pourtant ironie ultime …au lieu de sombrer dans l’anonymat comme tant avant lui…il continuera éternellement influent via divers projets sociaux destinés aux jeunes sportifs souhaitant suivre ses traces...Aujourd'hui encore ,son héritage demeure vivant parmi tous ceux rêvant tissant eux-mêmes leur propre destin entre ombre lumière car ici justement réside force symbole héroïque transcendant simplement excellence sportive .. Une véritable inspiration pour générations futures! Peut-être serons-nous témoins bientôt surgir émergence nouveaux talents guidés auprès figures inspiratrices tel notre cher Duncan White.