1773 : Charles Steeb, prêtre allemand, fondateur des Sœurs de la Miséricorde de Vérone († 1856).

À l'aube du 18ème siècle, dans un petit village d'Allemagne, un jeune garçon nommé Charles Steeb est né. Sa naissance a eu lieu sous une étoile particulière, une étoile que certains pourraient qualifier de destinée. Dès son plus jeune âge, il ressentait un appel profond vers la spiritualité et la charité. Cependant, ce n'est qu'après avoir traversé les tumultes de l'adolescence que son chemin vers le sacerdoce a commencé à se dessiner clairement.

Malgré cela, le parcours n'a pas été linéaire. La vie en Allemagne au cours des années 1700 était marquée par des défis sociaux et économiques considérables. Les inégalités étaient criantes et les souffrances des plus démunis résonnaient dans chaque coin de rue. Peut-être que ces injustices ont profondément marqué Charles, aiguisant sa sensibilité aux souffrances humaines qui allaient façonner sa vocation future.

Ironiquement, alors qu'il poursuivait ses études théologiques avec ardeur dans un séminaire local, c'est au contact des pauvres qu'il a véritablement compris ce que signifiait être prêtre. Ses visites régulières auprès des malades et des nécessiteux lui ont ouvert les yeux sur leur misère quotidienne un monde où la compassion se mêle à l'indifférence crasse d'une société trop souvent préoccupée par ses propres intérêts.

Alors qu'il progressait dans ses études ecclésiastiques, Charles était déjà déterminé à mettre en œuvre ce qu'il avait appris : aimer son prochain comme soi-même. Il s'engagea alors sur la voie du sacerdoce avec ferveur et dévouement. À peine ordonné prêtre en 1800 une époque où le rôle clérical était empreint de tradition mais aussi de lourdeurs il décida d'embrasser une mission audacieuse qui bouleverserait non seulement sa vie mais également celle d'innombrables autres personnes.

C'est ainsi qu'en 1828, après plusieurs années passées à servir sa communauté locale tout en observant les conditions désastreuses auxquelles étaient confrontés tant de gens autour de lui, il fonda les Sœurs de la Miséricorde de Vérone ! Ce fut un acte presque prophétique qui répondait à une nécessité urgente : créer une organisation dédiée à aider ceux qui souffraient le plus.

Sa vision était claire : offrir non seulement des soins matériels mais aussi spirituels aux malades et aux démunis une idée novatrice pour l'époque ! Les sœurs allait se former selon ses principes fondés sur la charité chrétienne et l’engagement total envers ceux qui étaient marginalisés par la société.

Sous son leadership inspiré et bienveillant, l'ordre connut rapidement succès et reconnaissance. Les premières membres furent formées non seulement pour apporter assistance physique mais également pour apporter réconfort spirituel par leur simple présence auprès des malheureux ! Ironiquement cependant alors que Charles avait réussi à rassembler autour de lui tant d'énergies positives il se heurta bientôt aux forces conservatrices au sein même de l'Église qui ne voyaient pas toujours d'un bon œil cette nouvelle vague d'empathie active.

Dès lors, malgré quelques résistances internes parfois étriquées provenant du clergé traditionnellement rigide il persista avec détermination ! Avec patience comme vertu cardinale suivie par son exemple exemplaire… Ces combats ne firent que renforcer sa foi déjà solidement ancrée dans sa mission humaine : soulager toute souffrance rencontrée sur son chemin! Qui sait combien d’âmes ont été touchées par cette belle aventure ?

Avec le temps, les Sœurs se multiplièrent non seulement en Allemagne mais aussi au-delà ; elles apportaient secours alimentaire ainsi que soins médicaux là où ils faisaient défaut ! L’œuvre grandissante fit écho jusqu’aux régions voisines attirant alors encore davantage celles désireuses elle-aussi servant cet idéal authentique; car après tout « agir » était devenu leur mantra commun!

Néanmoins – comme si cela ne suffisait pas – Charles Steeb fut sans cesse conscient du fait qu’il ne serait jamais seul dans cette entreprise ; certaines sœurs trouvaient leur propre vocation renforcée face aux défis rencontrés… Ainsi naquit progressivement cette grande famille remplie non seulement d’engagement humanitaire mais également empreinte parfois d’une douce complicité fraternelle partagée autour du même objectif ambitieux...

Au fil des ans passèrent… Cela étant dit – comment pouvait-il envisager tout ceci sans penser à ce jour fatidique ? En effet! Tout arriva lentement... Un matin grisâtre du mois novembre en 1856 – alors même où il pensait pouvoir voir prospérer son œuvre après tant sacrifices - la mort frappa silencieusement chez cet homme engagé ! Malgré cette disparition irréparable cependant... Ce leg inestimable laissé derrière lui continuerait sûrement longtemps encore aujourd’hui !

Puisque aujourd'hui encore – plus d'un siècle après sa mort – l'héritage remarquable laissé par Charles Steeb perdure sous différentes formes... En effet! Les valeurs fondamentales impulsées jadis continuent éveillant encore maints cœurs sensibles autour chacune ses initiatives humanitaires faites avec amour! On pourrait dire ici-là que beaucoup trouvent désormais leurs repères grâce toutes ces inspirations transmises directrices liées directement celles ayant foulées ensemble ce chemin lumineux éclairci…”