1954 : Auguste Lumière, ingénieur français, inventeur du cinéma (° 19 octobre 1862).

En 1862, dans une petite ville de Besançon, un enfant est né. Cet enfant, c'était Auguste Lumière. Sa venue au monde s'est accompagnée d'une promesse inéluctable : celle de révolutionner la manière dont l'humanité perçoit le temps et l'espace. Élevé dans un environnement où l'ingénierie et la créativité se croisaient souvent, il a été façonné par des influences qui l'ont guidé vers son destin extraordinaire. Dès son plus jeune âge, il s'est intéressé aux merveilles de la technique et à la façon dont les choses fonctionnent une curiosité insatiable qui serait le terreau fertile pour ses inventions futures. Alors que les années passaient et qu'Auguste grandissait, le monde autour de lui était en pleine mutation. La Révolution industrielle battait son plein, transformant le paysage des inventions et des idées. Cependant, malgré cet élan technologique grandissant, rien ne pouvait prédire ce que les frères Lumière allaient accomplir quelques décennies plus tard une invention qui non seulement capturerait des images mais pourrait également projeter ces instantanés sur un écran géant pour que tous puissent en profiter ensemble. C'est ainsi qu'en 1895, après plusieurs années de recherche et d'expérimentations au sein de leur usine familiale à Lyon avec son frère Louis Lumière, Auguste dévoila le Cinématographe. Cet appareil ne se contentait pas de filmer ; il pouvait également projeter ces images mouvantes devant un public fasciné ! Imaginez cette première projection publique au Salon Indien du Grand Café à Paris : des spectateurs émerveillés par le mouvement sur un écran blanc une révolution visuelle qui marquerait à jamais l'histoire humaine. Malgré cela, Auguste ne s'est pas arrêté là. Il a poursuivi ses recherches avec passion et détermination tout en restant fidèle à ses valeurs d'ingénieur pragmatique : "L'art est fait pour être compris", disait-il souvent. Cela peut expliquer pourquoi sa vision du cinéma différait tant des autres cinéastes qui cherchaient avant tout la fiction ou la narration complexe lui croyait fermement en la simplicité du réel comme source d'inspiration. Toutefois, cette approche réaliste n'a pas toujours été bien accueillie par tous. Ironiquement, alors que certains voyaient dans ses films des œuvres extraordinaires capables d'élever l'esprit humain vers de nouveaux sommets artistiques ou émotionnels... d'autres critiquaient leur manque d'intrigue ou de profondeur narrative ! Peut-être que cette dichotomie entre perception artistique et innovation technique résume parfaitement les défis rencontrés par ceux qui cherchent à briser les conventions établies. Dans une interview lors d'un festival consacré aux débuts du cinéma muet à Lyon quelques décennies plus tard... Un historien a souligné comment Auguste avait réussi à mettre sur pied un modèle économique viable autour du cinéma tout en préservant sa vision pure : celle d'un art accessible à tous ! Qui sait combien cela a pu inspirer les générations suivantes ? Leurs propres œuvres ont bâti sur cette fondation solide laissée par ces pionniers audacieux... Les frères Lumière ont été parmi les premiers artisans du « cinéma documentaire », mettant sous les projecteurs des moments ordinaires mais essentiels : tels que « La Sortie des Usines » ou « L’Arroseur Arrosé ». Ces courts-métrages reflètent sans doute leurs préoccupations sociales... Mais ils sont aussi emblématiques du respect porté envers le quotidien transformant chaque geste banal en spectacle lumineux digne d'être partagé. Cependant... malgré ce succès fulgurant au tournant du XXe siècle tandis qu'Auguste continuait avec passion sa quête cinématographique il semblait parfois renoncer aux feux de la rampe pour se consacrer davantage aux recherches scientifiques! En effet… celui qui avait ouvert tant de portes semblait prendre plaisir dans l'obscurité rassurante du laboratoire plutôt qu'en tête d'affiche sous les projecteurs scintillants ! Pour autant... son héritage perdure encore aujourd'hui ! Les avancées technologiques réalisées depuis lors sont infinies… Mais quelque part là-dedans résonne toujours ce désir premier : celui de capturer le mouvement humain ! Ce n’est donc pas surprenant si nombreurs réalisateurs contemporains se retournent vers ces origines lorsqu'ils créent leurs œuvres modernes – allant même jusqu'à emprunter certains principes filmiques ! En 1954… alors qu’Auguste voyait finalement s’éloigner sa propre ombre vers l’horizon distant… il était déjà reconnu comme étant l’un des pères fondateurs indiscutables du septième art – pourtant … chaque projection lumineuse rappelait davantage son travail acharné derrière chacune ... chaque image saisissante! Peut-être ironique mais profondément touchant aussi – cet héritage culturel gigantesque gravé dans nos esprits continue encore aujourd'hui grâce aux milliers de projets réalisés chaque année… Chaque nouvel essai cinématographique porte quelque chose issu directement ou indirectement … soit dit-en passant ...de cet atelier lyonnais où tout avait commencé ! Et maintenant... Que reste-t-il vraiment ? Que reste-t-il lorsque vous repensez aux prémices mêmes ? Dans notre monde saturé par divers contenus audiovisuels constamment renouvelés – peut-être faudrait-il songer davantage aux racines ayant nourri notre passion collective pour ces récits animés? Des récits immortalisés grâce au talent exceptionnel typique tel celui incarné par Auguste Lumière… Alors qu'il nous quittait physiquement... Le 10 avril 1954 fut marquée non seulement par la perte personnelle mais également symbolisée comme fin tragique face immense beauté éternelle créé grâce talent incommensurable - Celui-ci n'était rien moins qu'un pionnier courageux défrichant route ouverte devant milliers artistes future génération.