1947 : August Meyszner, officier de la gendarmerie fédérale autrichienne (° 3 août 1886).

La scène se déroule en 1947, dans une Vienne en ruines, où les cicatrices de la Seconde Guerre mondiale sont encore visibles. August Meyszner, un homme à l’allure imposante et à la moustache bien taillée, se trouve au cœur d’un tourbillon politique et social. Néanmoins, son histoire commence bien avant cette époque tumultueuse.

Né le 3 août 1886 dans une petite ville autrichienne, Meyszner a grandi dans un environnement où l'ordre et la discipline étaient des valeurs cardinales. Peut-être qu’il aurait pu mener une existence paisible, loin des tumultes du monde cependant, le destin en avait décidé autrement. En effet, son engagement précoce au sein de la gendarmerie l'a rapidement propulsé sur le devant de la scène.

Durant les années qui ont précédé la Grande Guerre, il s'est illustré par son sens du devoir inébranlable. Malgré cela, sa carrière n'a pas été exempte de défis : alors que l’Empire austro-hongrois sombrait dans le chaos et que les tensions montaient parmi les nations européennes, August se retrouvait souvent tiraillé entre loyauté envers ses supérieurs et les réalités changeantes du paysage politique.

Ainsi naquit son expérience sous pression ; chaque jour était un nouveau test pour sa résilience. Il a navigué avec habileté dans un océan d’incertitudes politiques pendant l’entre-deux-guerres. Peut-être que c’est cette période de turbulences qui a forgé son caractère fort et déterminé ? Qui sait ! Ce qui est sûr c’est qu’à chaque événement majeur révoltes populaires ou manifestations il se tenait là : intransigeant comme un roc face aux vagues déferlantes.

En entrant dans la guerre en 1939 comme officier supérieur de gendarmerie fédérale autrichienne pendant l’Anschluss quand l’Autriche fut annexée par le Troisième Reich il s’est retrouvé confronté à des choix moraux déchirants. À ce moment-là de sa vie déjà chargée d’événements marquants... Alors qu’il aurait pu tourner le dos aux idéologies nazies pour défendre ses convictions personnelles il choisit plutôt d'appliquer rigoureusement les lois établies par le régime en place. Cette décision allait peser lourdement sur lui par la suite...

Cela dit, même au cœur du pouvoir oppressif allemand qui embrasait l'Europe entière avec des cris de haine et des promesses vides ; ironie du sort : Meyszner a tenté d'agir avec intégrité lors des périodes sombres où beaucoup choisissaient de rester silencieux ou complices... Mais qu'en est-il vraiment ? Sa fidélité à ses fonctions était-elle motivée par un véritable sens moral ou simplement par peur des conséquences ? Les rumeurs circulent encore aujourd'hui.

Après la chute du régime nazi en 1945 alors que Vienne se relevait lentement sous les yeux vigilants des puissances occupantes Meyszner se retrouve confronté aux changements radicaux qui bouleversent tant sa carrière que son pays tout entier. La nouvelle démocratie autrichienne exigeait non seulement une reconstruction physique mais également morale ; nombreux étaient ceux qui souhaitaient voir derrière eux ces années sombres… Cependant ! L'ombre d'un passé chargé pèse toujours sur ses épaules.

Durant cette période instable mais pleine d'espoir pour certains mais pas forcément pour tous August était devenu témoin silencieux des luttes internes au sein même de sa propre institution gendarmerie fédérale... Bien qu'il ait essayé d’adopter une attitude proactive face à ces changements sociopolitiques majeurs... Il ne pouvait échapper à ce sentiment grandissant : celui que rien ne serait jamais complètement purifié après avoir tant souffert!

Dès lors qu’il accédait aux nouvelles responsabilités auxquelles il aspirait depuis longtemps maintenant , on pourrait imaginer que cette tension intérieure s’accentuait… Ironiquement peut-être parce qu’en attendant quelque chose comme « justice » ou rédemption semblait si loin ! Ainsi continuaient ses jours – parfois monotones – durant lesquels il tentait désespérément d’équilibrer honnêteté personnelle contre bureaucratie implacable.

C'est ainsi que plusieurs décennies plus tard encore aujourd'hui… Son nom revient souvent lors des discussions autour non seulement du passé violent nazi mais aussi concernant comment reconstruire correctement ce pays ravagé sans jamais renier son histoire tragique ! Mais plutôt apprendre à coexister avec elle tout en bâtissant vers demain; là réside peut-être tout défi auquel August fit face jusqu'à sa mort finalement survenue quelques années plus tard...

L’héritage laissé par cet homme complexe reste fascinant; alors qu'il continue encore aujourd'hui d'alimenter débats passionnés parmi historiens modernes.. Comment interpréter toutes ces actions prises durant une époque sombre? Une question persistante! Entre manipulation nécessaire contre conviction profonde; jusqu'où est-il possible/facile/véridique ? Car au fond... Dans quel état serait devenu cet officier moderne comparativement? Une réflexion sans fin semble-t-il!... Pourtant ici nous sommes seuls témoins frappés par souvenirs passés tout autant révélateurs injustices/bonnes volontés contradictoires…