1948 : résolution no 47 du Conseil de sécurité des Nations unies relative à la partition Inde-Pakistan.
La résolution no 47 du Conseil de sécurité des Nations unies : Une partition tragique
« Imaginez un pays, une terre, où les rêves d’une nation se heurtent à la réalité cruelle de la division. Que ressent-on lorsque l’on doit abandonner ses racines pour des raisons politiques ? » Cette question trouve un écho particulier dans le contexte de la résolution no 47 adoptée par le Conseil de sécurité des Nations Unies en 1948, qui a été cruciale pour le destin de l'Inde et du Pakistan. Cette année-là est marquée par des événements tragiques qui ont non seulement affecté les deux nations nouvellement indépendantes, mais ont également redéfini les contours géopolitiques du sous-continent indien.
Contexte historique : La fin d'une époque
Pour comprendre pleinement l'importance de la résolution no 47, il est essentiel d'explorer le contexte historique dans lequel elle a été adoptée. L'Inde obtient son indépendance vis-à-vis du Royaume-Uni en août 1947 après une longue lutte contre la colonisation britannique. Cependant, cette indépendance a été accompagnée par une partition douloureuse qui a divisé le territoire en deux nations distinctes : l'Inde et le Pakistan.
Cette séparation ne s'est pas faite sans violence ; on estime que près de 15 millions de personnes ont été déplacées au cours du processus et que plus d'un million sont mortes dans les violences communautaires qui ont suivi. Les lignes de démarcation tracées sur la carte étaient non seulement arbitraires mais aussi désastreuses sur le plan humanitaire.
La résolution no 47 : Un appel à la paix
Adoptée le 21 avril 1948 à New York lors d'une séance mémorable au sein des Nations Unies, la résolution n°47 visait principalement à établir un cessez-le-feu entre l'Inde et le Pakistan au sujet du Cachemire, une région qui suscite toujours des tensions entre ces deux pays. Selon certaines sources historiques, ce conflit territorial était si grave qu'il menaçait même la paix mondiale.
Dès son adoption, cette résolution appelait à :
- L'arrêt immédiat des hostilités;
- Le retrait complet des troupes militaires;
- L'organisation d'un référendum permettant aux habitants du Cachemire de décider leur propre avenir politique.
Séquence émotionnelle : Témoignages vécus
Le 12 juillet 1948, à Srinagar…
Amina Khan*, une jeune femme originaire du Cachemire évoque sa peur : « J'avais juste dix-huit ans lorsque tout cela a commencé. Je me souviens encore des cris au loin – nous avions peur pour nos vies et celles de nos proches. Des voisins fuyaient leur maison pendant que nous étions forcés de rester cloîtrés chez nous ». Ces souvenirs persistants sont devenus emblématiques pour beaucoup qui ont vécu cette période tumultueuse.
L'appel à mettre fin aux combats et résoudre pacifiquement ce conflit résonne encore aujourd'hui avec force dans les esprits ; il s'agit là d'une blessure encore ouverte sur laquelle reposent les relations actuelles entre l’Inde et le Pakistan.
Société civile face au chaos
Pendant ces jours sombres alors qu’environ un million étaient en proie aux violences intercommunautaires consécutives à la partition, il est frappant d’observer comment certains citoyens ordinaires faisaient preuve de solidarité avant même l’ère numérique ou médiatique moderne.Des chaînes téléphoniques improvisées se mirent en place alors que chacun essayait désespérément de savoir si leurs amis ou parents avaient survécu. Les annonces passées par haut-parleurs dans les rues étaient devenues monnaie courante pour annoncer les nouvelles importantes concernant ceux disparus.En parallèle à cela, dans plusieurs quartiers ravagés par cette violence insensée se créèrent spontanément des réseaux solidaires permettant aux déplacés ou blessés d'accéder rapidement aux soins nécessaires afin minimiser pertes humaines durant ce drame inattendu.À chaque coin généralement emprunté restituait malgré tout quelque chaleur humaine entre voisins confrontés ensemble face au désastre.
Les répercussions contemporaines
Alors qu'en mars 2022 un nouveau cycle de conflits faisait rage autour de cette même région contestée où selon certains analystes environ 700000 soldats indiens étaient déployés... on ne peut s’empêcher d'éprouver tristesse devant tant d’histoires semblables encore aujourd’hui – témoin permanent signifiant que peu semble changer. Il est intéressant ici aussi côté information relayé; alors qu’à partir dès 2010 apparurent très nombreux réseaux sociaux comme Twitter offrant plateforme vocalité plus large: parties prenantes peuvent maintenant communiquer presque instantanément créer chaines solidarité repensées comme rappel tableau sombre ayant déjà marqué histoire sous continent avant... Peut-on dire vraiment avoir progressé quand mémoire collective pourrait sans cesse engendrer cycles récidivants?Conclusion: Une nécessité impérative vers un avenir meilleur ?
Ainsi résumons-nous finalement concernant enseignements tirés notamment résolutions n°47 demeurent primordiales lorsqu’il s’agit tracer ligne juste équilibre souhaitant obtenir solution pacifique long-terme conduisant choix délibéré peuple concerné.Néanmoins doivent-elles suffir seules? Peut-être avons-nous besoin alors confrontations renouveler dialogue véritables dialogues dépassant enjeux stratégiques éphémères apparaissant trop souvent largement dominants encore aujourd'hui?