15 Janvier

En 2022, l'éruption spectaculaire du volcan Hunga Tonga a secoué l'archipel des Tonga, entraînant des alertes au tsunami à travers tout le Pacifique. Cet événement cataclysmique a tragiquement causé la perte de 3 vies, fait 4 blessés et a laissé plusieurs personnes portées disparues. Les répercussions de cette éruption volcanique intense restent gravées dans les mémoires des habitants et des nations environnantes.

En 2020, la Turquie a enfin levé le blocage de Wikipédia qui perdurait depuis 2017. Cette décision a été rendue possible grâce à un jugement de la Cour constitutionnelle turque. Cette levée du blocage est un moment marquant pour l'accès à l'information et la liberté d'expression en Turquie.

En 2019, au moins 37 civils touaregs et des membres du Mouvement pour la sauvegarde de l'Azawad (MSA) ont été massacrés par des djihadistes de l'État islamique dans le Grand Sahara, près de Ménaka au Mali. Cet événement tragique souligne la montée de la violence jihadiste dans la région, soulignant l'urgent besoin de sécurité et de stabilité dans cette partie du Mali.

En 2016, Ouagadougou, la capitale du Burkina Faso, a été le théâtre d'attentats tragiques qui ont coûté la vie à au moins 29 personnes. Ces événements marquants ont bouleversé le pays et souligné les défis liés à la sécurité en Afrique de l'Ouest.

En 2005, un grave accident d'autocar a eu lieu près de Saint-Martin-d'Estréaux, sur la route nationale RN7. Un autocar transportant environ cinquante adolescents revenant d'une classe de neige a fait une chute dans un fossé. Cet incident a blessé sérieusement six jeunes âgés de 12 et 13 ans, ainsi que le conducteur du véhicule, âgé de 70 ans. Suite à cette tragédie, le gouvernement a décidé d'imposer une visite médicale annuelle pour tous les conducteurs de transports en commun âgés de plus de 60 ans, dans le but de renforcer la sécurité des passagers. Cette réforme a été mise en place pour prévenir de futurs accidents et assurer un transport sécurisé pour les jeunes. L'accident du 2005 reste un rappel tragique de l'importance de la vigilance et des mesures de sécurité dans le secteur du transport en commun.

En 2004, le chalutier Bugaled Breizh a sombré au large du sud-ouest de l'Angleterre, entraînant une tragédie humaine avec deux morts et trois disparus. Cet incident maritime, dont les circonstances restent floues, a suscité une vive émotion en Bretagne et au-delà. Le naufrage du Bugaled Breizh est devenu un sujet de préoccupation concernant la sécurité en mer et a soulevé de nombreuses questions sur les conditions de navigation dans cette région. Cette catastrophe rappelle l'importance cruciale de la vigilance et des mesures de sécurité pour éviter de tels drames à l'avenir.

En 2003, le préfet de Corse, Bernard Bonnet, a été condamné à une peine de trois ans de prison en raison de son implication dans l'incendie de paillotes illégalement établies sur une plage en Corse. Cette affaire a suscité une vive controverse et des débats sur la préservation de l'environnement et la réglementation des constructions littorales en Corse. Les conséquences de ce jugement ont également soulevé des questions sur la responsabilité des autorités locales en matière de protection du patrimoine naturel.

En 2002, le procureur français a exclu toute cause non accidentelle concernant l'explosion de l'usine AZF de Toulouse, survenue à la fin de septembre de l'année précédente. Cette déclaration met en lumière les enquêtes menées sur cet incident tragique qui a marqué l'histoire de Toulouse et soulève des questions sur la sécurité des installations industrielles en France.

En 2001, le ministère français de la Défense a déclaré que les tests de recherche d'uranium appauvri, réalisés sur cinq militaires français ayant servi dans les Balkans et hospitalisés pour des maladies sanguines, n'ont révélé aucune trace de ce matériau. Cette annonce a soulevé des questions sur l'utilisation de l'uranium appauvri dans les conflits armés et ses impacts sur la santé des soldats.

En 1999, la chambre d'accusation de la cour d'appel de Paris a pris une décision importante en rendant un non-lieu en faveur d'Ilich Ramírez Sánchez, connu sous le nom de Carlos. Cette décision concerne l'enquête sur l'attentat tragique survenu au Drugstore Saint-Germain le 15 septembre 1974. Ce fait marquant dans l'histoire judiciaire française souligne les complexités entourant les affaires de terrorisme et les poursuites contre des figures emblématiques comme Carlos, souvent surnommé le "chacal". Cette décision a des implications significatives dans le traitement des affaires anciennes et la gestion des archives judiciaires.